Ca fait longtemps que je voulais en écrire un, suite aux lectures de ceux de Darkcorp et des autres (désolé, c'est le seul nom qui me soit revenu à l'esprit).
A priori il ne doit plus rester trop de fautes, Word ayant assuré la majorité des corrections, mais n'hésitez pas à me corriger.
Je m'excuse aussi pour le style un peu lourd, et pour le reste, je n'ai jamais été très bon dans ce domaine.
Voilà, j'inaugure au passage mon premier message sur ce forum qui m'aura permis de comprendre beaucoup de chose dans ce très (trop ?) vaste jeu.
Il y aura surement des incohérences, car j'écris en général les Rp quelques jours après avoir joué en me basant sur des notes qui sont forcément incomplètes (la faute à l'abscence de vraie pause facilement enclenchable).
Bon j'arrête de dire n'importe quoi et vous livre le premier épisode, bonne lecture (j'espère) à vous !
HRP : Départ Paranide empoisonné (on ne s’en serait pas douté hein?)
Règles: did, no reload.
Pas d’achat de vaisseaux.
Pas de récupération des vaisseaux perdus en dehors du Skate.
Je ne peux piloter que les vaisseaux paranides et borons (expliqué plus tard dans le rp, mais comme ça, je mets toutes les règles d’un coup), ainsi que les pirates et yakis. Tout autre vaisseau sera vendu.
Réparation jusqu’à 90% de la coque maximum, après, faut casquer.
Version 2.1, scripts : Circrow boarding command, Complex Cleaner et MARS.
Episode 1 Perdu dans l’épave.
Que c’est-il passé ?
Où suis-je ?
Où est passé mon vaisseau ?
Je suis dans le cirage, mes yeux ont du mal à s’ouvrir.
Une voix, je ne comprends pas.
« Vous n’êtes pas autorisé à rester dans ce système, partez ou nous ouvrirons le feu ! »
Les souvenirs remontent à la surface. J’ai été dupé, ce…cet…je ne me rappelle que vaguement de lui, il m’a dit de monter dans ce vaisseau, je ne sais plus pourquoi, je l’ai suivi, des crédits à la clé il me semble…
Vaisseau ! Ces commandes ne me sont pas familières. Quel est ce vaisseau ?
Ça y est, un Déméter, un transporteur ? Mais où est passé mon Hypérion ?
La voix se fait plus pressant, je voix de nombreux chasseurs sur mon grav’. L’un d’entre eux se place face à moi.
« Dernière somation, partez ou nous ouvrirons le feu. »
Pas le temps de se poser de question, je reconnais l’endroit, Affirmation des cieux, vite, le portail est me conduira hors des secteurs Paranide.
J’accélère, cette vieille bécane n’a rien dans le ventre, et l’autre fou de la gâchette commence à s’impatienter. Plus que quelque kilomètre…
« Vous n’avez pas quitté la zone à temps, vous allez être abattu. »
m****, et ce tas de ferraille qui ne veut pas aller plus vite.
Les lasers passent à coté de moi, je tente de les esquiver, mais ce, cette…chose (je n’ose appeler ça un vaisseau) n’est pas manœuvrable.
Un choc.
Mon bouclier a absorbé l’impact, mais il ne tiendra pas 4 coups comme ça.
500 mètres, je commence à y croire.
Un deuxième choc.
« Bouclier à 50% »
250 mètres.
100 mètres.
Je passe.
Me voici en secteur split. Je m’écarte de la route commerciale pour reprendre mes esprits.
J’en profite pour regarder de plus près l’épave. 2 bouclier 25 MJ, 4 drones, un canon à rayon pulsé. L’ordinateur de bord est une antiquité, un scanner duplex, un système d’aide à la visée de base…et une bonne nouvelle, j’ai 10 161 crédits en poche.
La radio grésille. Je ne serais quand même pas aussi mal vu chez les split ?
« Bonjour, nous avons le moyen de vous aider, rendez vous à la station commerciale du secteur Oasis de Menelaus. »
Cette voix, métallique, un Boron.
Hum, la carte galactique a été effacée. Le module de recherche est actif, je le cale sur le signal…de longues secondes s’égrènent…ouf ! Cette épave est au moins bonne à ça.
Il m’indique que le signal a traversé 4 secteurs, à la vitesse où se traine cet engin, je ne suis pas arrivé. Mais bon, ai-je le choix ?
Je lance les moteurs, la coque grince sous la poussée. Un bouton clignote. MATS. Je l’enclenche aussi sec en espérant que le vaisseau ne va pas partir en miette sous l’effet d’accélération. Je suis encore vivant.
Et dire que je ne suis qu’un simple citoyen. Que je n’étais qu’un simple citoyen…
Je ne sais pas me battre, je n’ai jamais vraiment commercé, et me voici dans ce tas de ferraille à destination de je ne sais où.
Le Boron a parlé de m’aider, peut être en sait-il plus que moi.
Le voyage est long et ennuyeux, je plains les commerçants qui se tapent ces trajets tout les jours.
Fausses souveraineté, Rêves fanés, me voici en secteur Boron, ils n’ont pas l’air de particulièrement m’apprécier.
Havre de la Reine. Le mythique QG d’Atreus, des gigantesque M2 me frôlent, des M6 croisent aussi dans les parages, tous marqués du blason de la compagnie. Je ne peux m’empêcher d’admirer le spectacle de ces vaisseaux, semblant danser les uns avec les autres. Ce ballet spatial me laisse sans voix.
Enfin, le portail vers Oasis de Menelaus, la fin de mon calvaire ?
Je m’arrime sans problème à la station commerciale. Un petit tour au bar me permet de retrouver mon interlocuteur de tout à l’heure.
Indéniablement, c’est un Boron, un poulpe répugnant. Je m’avance vers lui.
- Bonjour M. Tupkanoplanks.
- Appelez-moi Tupk’, vous êtes ?
- Mon nom n’a pas d’importance, c’est ce que je peux pour vous qui importe
Ce Boron est étrange, je commence à me sentir mal alaise.
- Et que pouvez-vous ?
- Je sais ce qu’il vous est arrivé et je peux vous faire récupérer votre vaisseau, et votre notoriété.
Ainsi, cet immonde poulpe en sait plus que moi.
- Mais bien évidement ce service ne sera pas gratuit. Pour les risques encourus pas moi et mes associés, nous demandons un salaire de 25 millions de crédits.
- Il y a un autre problème, pour des raisons que je ne peux vous donner, nous avons besoin de cet argent avant 72 h.
C’est la douche froide, 25 millions, je n’ai jamais possédé le dixième de cette somme dans toute ma vie et il faudrait que je la réunisse en 72 heures ?
- Mais…mais….où vais-je trouver cette somme ?
- Cela vous regarde, nous vous avons trouvé un vaisseau pour vous aider dans votre tâche, il se trouve dans ce secteur. Les coordonnées exactes ont été transférées dans votre ordinateur de bord.
- Au revoir M Tupkanoplanks.
Je n’ai pas le temps de reprendre mes esprits qu’il est déjà parti.
Satané Boron…
Et maintenant, me voici avec une dette de 25millions de crédits.
Que faire ?
Rp [X3TC] Paranide abandonné.
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cyrilto
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Rp [X3TC] Paranide abandonné.
Last edited by cyrilto on Fri, 27. Nov 09, 22:09, edited 4 times in total.
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cyrilto
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Un deuxième épisode (le premier ne racontant de toute façon pas grand chose).
Episode 2 Sacrés pirates.
Que faire ?
Tout d’abord, manger, je n’ai rien avalé depuis une mizura. Je me dirige donc vers la cafétéria. Je vais pouvoir vérifier si ce que l’on dit sur la bouffe boronne est vrai.
Le lieu à de la gueule, c’est propre, rangé, tout l’inverse d’une station Split.
Je prends un plateau et fait la queue.
Que du plancton, même pas une petite galette de soja à se mettre sous la dent. Ma planète me manque déjà. Je me décide et prends ce qui ressemble le plus à une galette de soja, mais au plancton. Pas de viande. Au moins, ils boivent aussi du carburant de l’espace, c’est déjà ça.
Je suis surpris, c’est pas si dégueulasse que ça en a l’air, et ça cale.
Maintenant que j’ai mangé, il est temps de s’atteler à la tache. Je monte dans mon vaisseau. Un nouveau message.
« Mise à jour de la base de donnée »
Au moins le Boron ne s’est pas moqué de moi, mon grav’ m’indique une épave non loin d’ici. Je mets le cap sur ce mystérieux vaisseau.
Et pour ne pas s’être foutu de ma gueule, il ne l’a pas fait à moitié. Bon, d’accord, c’est un vaisseau Boron, donc avec un design….hum…comment dire…particulier.
Le sas s’ouvre sans un grincement. Les lumières s’allument immédiatement après mon entrée. Je m’assois au cockpit. Je ne reconnais aucune commande, heureusement notre inconnu m’a laissé un manuel (et heureusement qu’on parle tous la même langue). J’apprends tout d’abord que le vaisseau est un Skate modifié par les soins du Boron. S’en suit un liste exhaustive des commandes, de ce qu’il faut et ne faut pas faire. Le parfait petit guide du pilote chevronné.
Bon, ça n’est pas si compliqué que ça, je dirais même que c’est très proche du pilotage Paranide, en plus souple et moins brutal peut être.
Une petite inspection me permet de me rendre compte de l’équipement du vaisseau.
3 boucliers 25 MJ, 2 Lphe, 2 crp, le rêve !
Vitesse de 72 m/s, améliorable, de même pour la soute de 227 unités. Et comble du bonheur, 9 missiles blanchedames. Le Boron ne s’est pas moqué de moi, me voici à bord d’un chasseur lourd.
Je décide donc de retourner à la station spatiale afin d’améliorer ma nouvelle possessions, quand ma radio se met à hurler :
« Subissons une attaque pirate, demandons aide de toute urgence à usine de tubes quantiques alpha, à tout les pilotes sur secteur, attaquez ! Une prime de 1909 crédits vous sera versée. »
Mon cœur bat la chamade, je n’ai jamais participé à un combat de ma vie. Mon grav’ m’indique deux chasseurs légers de classe M5 de type Harrier transporteur. Je me sens tout puissant à bord de mon Skate, je décide d’engager les deux pirates.
La station se trouve à 20 kilomètres de ma position, je mets plein gaz vers elle, vers la gloire ou la mort, la bourse ou la vie.
Mais à 10 kilomètres de la station, l’un des pirates se crashe sur l’usine, me laissant au passage un missile lancefeu. Je dois contenir un rire nerveux devant la situation, je décide donc d’engager le second pilote, mais voici qu’à 5 kilomètres, il s’écrase lui aussi lamentablement sur la station. Je savais que les pirates abusaient du kif de l’espace, mais de là à jouer les kamikazes sur des stations, il y a un monde. Enfin, je ne me plains pas, il me lâche lui aussi un lancefeu.
Soudain, mon grav’ s’agite. Un autre chasseur approche. Mes mains deviennent moites, tremblante. Un faucon avant-garde, un M3 pirate, plus rapide que mon vaisseau, et surtout, mieux armé. Je me trouve entre lui et la station, pas de possibilité de fuite, et je ne peux pas non plus m’attendre à ce qu’il s’écrase sur celle-ci. Je mets pleins gaz vers lui. Mes Lphe sont chargés. Mes tourelles prêtes à suivre ma cible.
2 Km, la cible est à portée, mes lasers crachent tout ce qu’ils peuvent, l’ennemi n’a pas le temps de riposter que son bouclier est déjà à 50%.
Les premières salves se dirigent vers moi, je tente une esquive sur le côté, tout en essayant de garder le chasseur dans ma ligne de tir.
Touché, le Skate encaisse bien.
En revanche, il n’en va pas de même de mon ennemi, coque à 25%. Je tente de le raisonner, lui promettant la vie sauve s’il m’éjecte. Foutus Téladis, prêts à mourir pour 4 sous. Tant pis, ton souhait est exaucé. Il me laisse tout de même un blanche dame.
« Merci beaucoup à vous pilote. Vos gestes font de vous un ami du peuple Boron. Voici la récompense, plus une prime pour avoir abattu le vaisseau, vous touchez 2172 Cr. »
Ça me fait une belle jambe d’être ami du peuple Boron, c’est pas avec 2172 crédits que je vais payer ma réhabilitation !
J’ordonne à mon Déméter de s’amarrer à la station commerciale. Et je le suis sur ce chemin, mon vaisseau à grandement besoin d’améliorations.
Je me dirige donc vers celle-ci quand j’aperçois au loin les signes d’une bataille. 2 busters et une buse pirate sont aux prises avec les skates des forces de contrôle de bordure. Les deux pirates ne font pas long feu, mais me laissent tout de même 1 missile feu sauvage et un missile bombyx. Ils sont quand même généreux ces pirates, 2 crash et 5 missiles gratos.
Je finis enfin par réussir à m’amarrer à la station, et échange ma cargaison avec mon Déméter. Je le déleste de tout son équipement (c'est-à-dire pas grand-chose) au profit de mon chasseur. Il faut que je trouve un chantier spatial où je puisse m’amarrer.
Je me dirige ensuite vers la boutique d’équipement du dock du même nom afin de booster un peu mon vaisseau. Je n’ai pas assez pour le mettre au maximum, je dépense donc 11000 crédits en amélioration de vitesse et 1200 crédits pour améliorer ma soute. Mon skate possède désormais une vitesse de pointe de 151 m/s et 229 unités de soute. Le pied… j’en profite pour demander où se trouve le chantier spatial le plus proche, et mets à jour ma carte. Le Boron me salue et me dit que je suis un ami reconnu de son peuple. Des mœurs étrange tout de même ces Borons.
Episode 2 Sacrés pirates.
Que faire ?
Tout d’abord, manger, je n’ai rien avalé depuis une mizura. Je me dirige donc vers la cafétéria. Je vais pouvoir vérifier si ce que l’on dit sur la bouffe boronne est vrai.
Le lieu à de la gueule, c’est propre, rangé, tout l’inverse d’une station Split.
Je prends un plateau et fait la queue.
Que du plancton, même pas une petite galette de soja à se mettre sous la dent. Ma planète me manque déjà. Je me décide et prends ce qui ressemble le plus à une galette de soja, mais au plancton. Pas de viande. Au moins, ils boivent aussi du carburant de l’espace, c’est déjà ça.
Je suis surpris, c’est pas si dégueulasse que ça en a l’air, et ça cale.
Maintenant que j’ai mangé, il est temps de s’atteler à la tache. Je monte dans mon vaisseau. Un nouveau message.
« Mise à jour de la base de donnée »
Au moins le Boron ne s’est pas moqué de moi, mon grav’ m’indique une épave non loin d’ici. Je mets le cap sur ce mystérieux vaisseau.
Et pour ne pas s’être foutu de ma gueule, il ne l’a pas fait à moitié. Bon, d’accord, c’est un vaisseau Boron, donc avec un design….hum…comment dire…particulier.
Le sas s’ouvre sans un grincement. Les lumières s’allument immédiatement après mon entrée. Je m’assois au cockpit. Je ne reconnais aucune commande, heureusement notre inconnu m’a laissé un manuel (et heureusement qu’on parle tous la même langue). J’apprends tout d’abord que le vaisseau est un Skate modifié par les soins du Boron. S’en suit un liste exhaustive des commandes, de ce qu’il faut et ne faut pas faire. Le parfait petit guide du pilote chevronné.
Bon, ça n’est pas si compliqué que ça, je dirais même que c’est très proche du pilotage Paranide, en plus souple et moins brutal peut être.
Une petite inspection me permet de me rendre compte de l’équipement du vaisseau.
3 boucliers 25 MJ, 2 Lphe, 2 crp, le rêve !
Vitesse de 72 m/s, améliorable, de même pour la soute de 227 unités. Et comble du bonheur, 9 missiles blanchedames. Le Boron ne s’est pas moqué de moi, me voici à bord d’un chasseur lourd.
Je décide donc de retourner à la station spatiale afin d’améliorer ma nouvelle possessions, quand ma radio se met à hurler :
« Subissons une attaque pirate, demandons aide de toute urgence à usine de tubes quantiques alpha, à tout les pilotes sur secteur, attaquez ! Une prime de 1909 crédits vous sera versée. »
Mon cœur bat la chamade, je n’ai jamais participé à un combat de ma vie. Mon grav’ m’indique deux chasseurs légers de classe M5 de type Harrier transporteur. Je me sens tout puissant à bord de mon Skate, je décide d’engager les deux pirates.
La station se trouve à 20 kilomètres de ma position, je mets plein gaz vers elle, vers la gloire ou la mort, la bourse ou la vie.
Mais à 10 kilomètres de la station, l’un des pirates se crashe sur l’usine, me laissant au passage un missile lancefeu. Je dois contenir un rire nerveux devant la situation, je décide donc d’engager le second pilote, mais voici qu’à 5 kilomètres, il s’écrase lui aussi lamentablement sur la station. Je savais que les pirates abusaient du kif de l’espace, mais de là à jouer les kamikazes sur des stations, il y a un monde. Enfin, je ne me plains pas, il me lâche lui aussi un lancefeu.
Soudain, mon grav’ s’agite. Un autre chasseur approche. Mes mains deviennent moites, tremblante. Un faucon avant-garde, un M3 pirate, plus rapide que mon vaisseau, et surtout, mieux armé. Je me trouve entre lui et la station, pas de possibilité de fuite, et je ne peux pas non plus m’attendre à ce qu’il s’écrase sur celle-ci. Je mets pleins gaz vers lui. Mes Lphe sont chargés. Mes tourelles prêtes à suivre ma cible.
2 Km, la cible est à portée, mes lasers crachent tout ce qu’ils peuvent, l’ennemi n’a pas le temps de riposter que son bouclier est déjà à 50%.
Les premières salves se dirigent vers moi, je tente une esquive sur le côté, tout en essayant de garder le chasseur dans ma ligne de tir.
Touché, le Skate encaisse bien.
En revanche, il n’en va pas de même de mon ennemi, coque à 25%. Je tente de le raisonner, lui promettant la vie sauve s’il m’éjecte. Foutus Téladis, prêts à mourir pour 4 sous. Tant pis, ton souhait est exaucé. Il me laisse tout de même un blanche dame.
« Merci beaucoup à vous pilote. Vos gestes font de vous un ami du peuple Boron. Voici la récompense, plus une prime pour avoir abattu le vaisseau, vous touchez 2172 Cr. »
Ça me fait une belle jambe d’être ami du peuple Boron, c’est pas avec 2172 crédits que je vais payer ma réhabilitation !
J’ordonne à mon Déméter de s’amarrer à la station commerciale. Et je le suis sur ce chemin, mon vaisseau à grandement besoin d’améliorations.
Je me dirige donc vers celle-ci quand j’aperçois au loin les signes d’une bataille. 2 busters et une buse pirate sont aux prises avec les skates des forces de contrôle de bordure. Les deux pirates ne font pas long feu, mais me laissent tout de même 1 missile feu sauvage et un missile bombyx. Ils sont quand même généreux ces pirates, 2 crash et 5 missiles gratos.
Je finis enfin par réussir à m’amarrer à la station, et échange ma cargaison avec mon Déméter. Je le déleste de tout son équipement (c'est-à-dire pas grand-chose) au profit de mon chasseur. Il faut que je trouve un chantier spatial où je puisse m’amarrer.
Je me dirige ensuite vers la boutique d’équipement du dock du même nom afin de booster un peu mon vaisseau. Je n’ai pas assez pour le mettre au maximum, je dépense donc 11000 crédits en amélioration de vitesse et 1200 crédits pour améliorer ma soute. Mon skate possède désormais une vitesse de pointe de 151 m/s et 229 unités de soute. Le pied… j’en profite pour demander où se trouve le chantier spatial le plus proche, et mets à jour ma carte. Le Boron me salue et me dit que je suis un ami reconnu de son peuple. Des mœurs étrange tout de même ces Borons.
Last edited by cyrilto on Tue, 10. Nov 09, 12:34, edited 3 times in total.
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cyrilto
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- Joined: Thu, 29. Oct 09, 10:03
épisode un peu plus court, vous me pardonerez 
Episode 3 Retour à QG Atreus.
Je profite de mon passage au havre de la Reine pour m’amarrer au QG Atreus.
A peine descendu de mon vaisseau que je suis saisi par la beauté et la majesté du lieu.
Je pénètre dans le hall central, et il me faut quelques secondes pour me remettre du choc. Des colonnades or et azur de 20 mètres de haut, aux couleurs de la compagnie. Les fresques murales immenses représentant son fondateur et un portrait de la reine et du roi lui faisant face, nous font nous sentir peu de choses. A coté, la cathédrale de la citadelle du Duc me semble fade, sans grandeur. Ici, tout n’est que couleur et éclat. Je ne pensais pas les Borons capable de ce genre d’œuvre d’art.
Le hall, bondé, grouille d’une foule hétéroclite, de Paranides et d’Argons se croisant sans se jeter de regard haineux, de Splits et Borons ne se sautant pas dessus une fois le dos tourné. Une activité paisible possède ce lieu, une paix qui a sans doute à voir avec le service d’ordre omniprésent. Des gardes lourdement armés qui garantissent la sécurité et la bonne entente entre les différentes races.
Je ne peux malheureusement pas m’attarder pour admirer ce chef d’œuvre architectural, le temps joue contre moi. Je me dirige donc vers le dock d’équipement, j’ai dans l’idée de vendre les missiles précédemment ramassés pour m’acheter un scanner triplex et un moteur de saut. Après avoir équipé mon vaisseau, il me reste un petit pécule que j’exploite pour m’acheter un ordinateur d’amarrage qui me facilitera grandement la vie, enfin un pilote automatique capable de se docker à une station sans rayer la carrosserie, et vu mon niveau en pilotage, un gain de temps non négligeable.
En repartant, un homme m’interpelle :
- He vous là bas !
Je me retourne pour tomber face à face avec un Boron. Je ne peux m’empêcher de le toiser de mes 5 yeux, bien habillé (enfin, « bien habillé » selon les standards Boron), d’environ 1m20 (taille moyenne pour ce peuple, pas étonnant, à bouffer que du plancton tout les jours).
- Je sais dans quel pétrin vous êtes et par la reine, je peux vous proposer un marché fort intéressant pour tout les deux.
Il faut croire que tous les Borons sont au courant de ma dette, moi qui pensais être ici incognito.
- De quoi voulez vous parler ?
- Votre dette de 25 millions, j’ai besoin d’un patrouilleur pour le châtiment de la Reine, des yakis on envahi le secteur, vous serez bien rémunéré.
Je décide d’accepter, j’ai besoin d’argent, il a besoin d’un pilote de chasse, je n’ai pas forcément le choix.
- D’accord, je vais m’occuper de vos pirates.
- Parfait, nous partons sous peu, nous vous préviendrons.
Je commence à me poser des questions, comment ce Boron est-il au courant de mes problèmes. A croire que je suis célèbre de ce coté de l’univers.
Et cette mémoire qui ne veut pas revenir, je me rappelle quelques bribes, des images, des sons, je me revois dans mon vaisseau, parlant à un être, je n’arrive pas à savoir de quelle race, un Boron ? Ce qui expliquerait pas mal de chose. Je n’entends pas sa voix, mais je me revois le suivre dans le Déméter pour je ne sais quelle raison. Une douleur vive, à l’arrière du crâne.
Puis le trou noir.
Pourquoi l’ais je suivi ? Que m’avait-il promis ?
Saleté mémoire qui fait des siennes.
Je tente de contacter le Boron de la station commerciale de l’oasis de Menelaus, mais le signal n’est plus attribué.
« Nous vous attendons pour la patrouille, rendez vous dans le secteur châtiment de la reine »
Et me voici parti vers de nouveaux combats, moi qui n’avais jamais combattu avant-hier…
Episode 3 Retour à QG Atreus.
Je profite de mon passage au havre de la Reine pour m’amarrer au QG Atreus.
A peine descendu de mon vaisseau que je suis saisi par la beauté et la majesté du lieu.
Je pénètre dans le hall central, et il me faut quelques secondes pour me remettre du choc. Des colonnades or et azur de 20 mètres de haut, aux couleurs de la compagnie. Les fresques murales immenses représentant son fondateur et un portrait de la reine et du roi lui faisant face, nous font nous sentir peu de choses. A coté, la cathédrale de la citadelle du Duc me semble fade, sans grandeur. Ici, tout n’est que couleur et éclat. Je ne pensais pas les Borons capable de ce genre d’œuvre d’art.
Le hall, bondé, grouille d’une foule hétéroclite, de Paranides et d’Argons se croisant sans se jeter de regard haineux, de Splits et Borons ne se sautant pas dessus une fois le dos tourné. Une activité paisible possède ce lieu, une paix qui a sans doute à voir avec le service d’ordre omniprésent. Des gardes lourdement armés qui garantissent la sécurité et la bonne entente entre les différentes races.
Je ne peux malheureusement pas m’attarder pour admirer ce chef d’œuvre architectural, le temps joue contre moi. Je me dirige donc vers le dock d’équipement, j’ai dans l’idée de vendre les missiles précédemment ramassés pour m’acheter un scanner triplex et un moteur de saut. Après avoir équipé mon vaisseau, il me reste un petit pécule que j’exploite pour m’acheter un ordinateur d’amarrage qui me facilitera grandement la vie, enfin un pilote automatique capable de se docker à une station sans rayer la carrosserie, et vu mon niveau en pilotage, un gain de temps non négligeable.
En repartant, un homme m’interpelle :
- He vous là bas !
Je me retourne pour tomber face à face avec un Boron. Je ne peux m’empêcher de le toiser de mes 5 yeux, bien habillé (enfin, « bien habillé » selon les standards Boron), d’environ 1m20 (taille moyenne pour ce peuple, pas étonnant, à bouffer que du plancton tout les jours).
- Je sais dans quel pétrin vous êtes et par la reine, je peux vous proposer un marché fort intéressant pour tout les deux.
Il faut croire que tous les Borons sont au courant de ma dette, moi qui pensais être ici incognito.
- De quoi voulez vous parler ?
- Votre dette de 25 millions, j’ai besoin d’un patrouilleur pour le châtiment de la Reine, des yakis on envahi le secteur, vous serez bien rémunéré.
Je décide d’accepter, j’ai besoin d’argent, il a besoin d’un pilote de chasse, je n’ai pas forcément le choix.
- D’accord, je vais m’occuper de vos pirates.
- Parfait, nous partons sous peu, nous vous préviendrons.
Je commence à me poser des questions, comment ce Boron est-il au courant de mes problèmes. A croire que je suis célèbre de ce coté de l’univers.
Et cette mémoire qui ne veut pas revenir, je me rappelle quelques bribes, des images, des sons, je me revois dans mon vaisseau, parlant à un être, je n’arrive pas à savoir de quelle race, un Boron ? Ce qui expliquerait pas mal de chose. Je n’entends pas sa voix, mais je me revois le suivre dans le Déméter pour je ne sais quelle raison. Une douleur vive, à l’arrière du crâne.
Puis le trou noir.
Pourquoi l’ais je suivi ? Que m’avait-il promis ?
Saleté mémoire qui fait des siennes.
Je tente de contacter le Boron de la station commerciale de l’oasis de Menelaus, mais le signal n’est plus attribué.
« Nous vous attendons pour la patrouille, rendez vous dans le secteur châtiment de la reine »
Et me voici parti vers de nouveaux combats, moi qui n’avais jamais combattu avant-hier…
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meewan
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c'est bien continu. il n'y a presque pas d'incohérence avec le background du jeu a part que l'hyperion est sensé être unique (enfin dans réunion mais je n'ai rien vue dans terran conflict a propos d'une production en serie de ce vaisseau) et qu'on améliore pas un vaisseau au chantier spatial mais au dock d'équipement.
bref trois fois rien. j'attend avec impatience la suite.
ps : je sais je suis chiant sur le background
bref trois fois rien. j'attend avec impatience la suite.
ps : je sais je suis chiant sur le background
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cyrilto
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meewan
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cyrilto
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Episode 4 Vol au dessus d’un nid de Pirates.
Je m’arrête sur le chemin du portail pour acheter une centaines de photopiles, elles me serviront comme carburant pour mon nouveau moteur de saut. L’achat est bref, le gérant à l’air occupé, une grosse commande m’explique-t-il, je ne m’attarde donc pas et part pour la patrouille.
Je passe le portail, et, à peine sorti du vortex, je me retrouve nez à nez avec un Susanowa Yaki, accompagné de deux Raijin. Je décide donc de les engager (en même temps, je n’ai pas trop le choix), le M3 me charge, il est équipé de lphe, mon bouclier descend vite, trop vite. Je manœuvre et me retrouve dans son dos, pas de tourelle arrière, j’use et abuse de mes moteurs de manœuvre pour me maintenir dans son sillage tout en l’arrosant copieusement des mes propres lasers. Il finit par exploser en vol.
Les deux M4 se dirigent alors vers moi. Deux contre un, j’ai une portée et un équipement supérieur, ce qui me permet d’éliminer rapidement le premier Raijin, le deuxième abandonne le combat à 8% de coque. Ce fut épique, mais je m’en tire sans encombre.
Mon grav’ me signale un Ka’ak éclaireur se promenant dans le secteur. J’avais entendu dire qu’ils pénétraient de plus en plus souvent dans les secteurs du Commonwealth mais n’imaginait pas en voir un de mes propres yeux un jour. D’un autre côté, je n’imaginais pas non plus me retrouver paria pour les miens, à devoir combattre pour payer une somme astronomique à un Boron pour récupérer mes biens.
Son élimination n’est qu’une formalité.
Un pirate Nova se promène non loin, je décide de tenter de le faire s’éjecter, je m’approche donc de lui, mais je n’ai pas fait 2 kilomètres que ma radio transmet un signal de détresse émis depuis l’usine de cristaux voisine.
« Pilote, nous avons besoin de votre aide, des pirates nous attaquent »
Décidément, la sécurité dans ce coin de l’univers, c’est pas ça. Les Borons devraient peut être penser à protéger leurs secteurs centraux.
« Vous serez grassement rémunéré ! »
Je me sens d’un coup proche de la cause boronne, à la limite du patriotisme.
« Pas de problème, je vole à votre secours »
Après coup, je pense en avoir fait un peu trop, m’enfin, du moment qu’il paye, je ne suis pas là pour me faire bien voir.
Cinq Discos sautent, suivis d’un Harrier transporteur, une Buse et un Nova. La partie s’annonce serrée. J’abats deux discos qui me passent à coté sans me voir. Je procède de même pour la buse et le nova.
Mais le nova, vous vous souvenez, celui qui croisait tranquillement et que je voulais attaquer, et bien moi, je l’avais oublié, et le voici me chargeant en vidant son stock de lancefeu, mon bouclier tient trois secondes et ma coque descend à 75 % avant que j’ai eu le temps de me placer derrière lui (je préfère me faire tirer dessus par sa tourelle arrière que ses missiles). Et là, l’intelligence pirate se montre enfin, sous un feu nourri, le nova tente de lancer 4 missiles d’affilée, et meurt stupidement au cinquième.
Les 3 discos restants, fidèle à leur habitude, se sont lamentablement crashés sur l’usine.
Enfin un peu de calme, je tente une sortie pour réparer mon vaisseau (à 90% bien sur) et regarde ce que m’ont laissé les pirates : un blanchedame, deux lancefeux et un feusauvage. Vu ce que vont me coûter les réparations, c’est pas cher payé.
Le chef de l’usine me contacte et me verse une prime de 60231 Cr. Bon, c’est pas mal.
Je me replonge donc dans la patrouille du secteur pour voir apparaître 9 vaisseaux sur mon gravidar. Panique à bord, mon vaisseau est toujours à 90% de coque.
Un rapide coup d’œil m’indique 4 Fujin, un Fujin transporteur, un Raijin, un Raijin sentinelle et un Susanowa.
Ceux-ci semblent plus s’intéresser aux vaisseaux civils du coin qu’à ma pomme. Je les engage donc un par un.
Les Fujin ne sont qu’une formalité (le transporteur compris) et me donnent deux feusauvages, le premier Raijin est abattu sans somation, le deuxième s’éjecte à 17% de coque. Le Susanowa se bat jusqu’à la fin et me lâche un feusauvage.
Je profite du calme temporaire pour réparer à 90% le Raijin et l’envoyer au chantier spatial pour rejoindre le Déméter et le premier Raijin.
Mais il se fait intercepter sur le chemin par deux Susanowa, un Raijin et un Fujin que je n’avais pas vu.
Je décide donc de le venger. Le Raijin est abattu rapidement et le Fujin bail à 12%.
Je me retrouve donc face au deux derniers M3…qui s’éjecte l’un après l’autre avec 66 et 79 % de coque restante, ce qui met fin à la patrouille en augment mon pécule de 44730 Cr pour avoir abattu 14 vaisseaux.
Tout le monde est envoyé au chantier spatial pendant que je m’excuse auprès d’un Tresher passé inexplicablement ennemi.
La vente de tout ce petit monde me permet de récupérer 2 461 000 Cr ainsi que 4 lphe, 3 drones et un blanchedame.
J’utilise cet argent afin de finir de booster et réparer mon Skate, qui atteint maintenant la vitesse honorable de 180 m/s et s’équipe du logiciel MARS.
J’ai repéré pendant la patrouille de nombreux vaisseaux Téladis se dirigeant vers le portail au nord du secteur. Ils sont réputés pour être de très bons marchands, et je commence à en avoir marre des « au nom de la reine » par ci « nous venons en paix » par là. Après les poulpes, les lézards seront peut-être moins ennuyeux, et peut-être que tout le monde ne saura pas que j’ai une dette et que j’y suis jusqu’au cou.
Je mets alors le cap vers le secteur téladi, et à 5 kilomètres du portail, je parviens à déchiffrer grâce aux jumelles « portail vers Béatitude de la Corruption ».
Un nom qui en dit long sur la philosophie des autochtones.
Je m’arrête sur le chemin du portail pour acheter une centaines de photopiles, elles me serviront comme carburant pour mon nouveau moteur de saut. L’achat est bref, le gérant à l’air occupé, une grosse commande m’explique-t-il, je ne m’attarde donc pas et part pour la patrouille.
Je passe le portail, et, à peine sorti du vortex, je me retrouve nez à nez avec un Susanowa Yaki, accompagné de deux Raijin. Je décide donc de les engager (en même temps, je n’ai pas trop le choix), le M3 me charge, il est équipé de lphe, mon bouclier descend vite, trop vite. Je manœuvre et me retrouve dans son dos, pas de tourelle arrière, j’use et abuse de mes moteurs de manœuvre pour me maintenir dans son sillage tout en l’arrosant copieusement des mes propres lasers. Il finit par exploser en vol.
Les deux M4 se dirigent alors vers moi. Deux contre un, j’ai une portée et un équipement supérieur, ce qui me permet d’éliminer rapidement le premier Raijin, le deuxième abandonne le combat à 8% de coque. Ce fut épique, mais je m’en tire sans encombre.
Mon grav’ me signale un Ka’ak éclaireur se promenant dans le secteur. J’avais entendu dire qu’ils pénétraient de plus en plus souvent dans les secteurs du Commonwealth mais n’imaginait pas en voir un de mes propres yeux un jour. D’un autre côté, je n’imaginais pas non plus me retrouver paria pour les miens, à devoir combattre pour payer une somme astronomique à un Boron pour récupérer mes biens.
Son élimination n’est qu’une formalité.
Un pirate Nova se promène non loin, je décide de tenter de le faire s’éjecter, je m’approche donc de lui, mais je n’ai pas fait 2 kilomètres que ma radio transmet un signal de détresse émis depuis l’usine de cristaux voisine.
« Pilote, nous avons besoin de votre aide, des pirates nous attaquent »
Décidément, la sécurité dans ce coin de l’univers, c’est pas ça. Les Borons devraient peut être penser à protéger leurs secteurs centraux.
« Vous serez grassement rémunéré ! »
Je me sens d’un coup proche de la cause boronne, à la limite du patriotisme.
« Pas de problème, je vole à votre secours »
Après coup, je pense en avoir fait un peu trop, m’enfin, du moment qu’il paye, je ne suis pas là pour me faire bien voir.
Cinq Discos sautent, suivis d’un Harrier transporteur, une Buse et un Nova. La partie s’annonce serrée. J’abats deux discos qui me passent à coté sans me voir. Je procède de même pour la buse et le nova.
Mais le nova, vous vous souvenez, celui qui croisait tranquillement et que je voulais attaquer, et bien moi, je l’avais oublié, et le voici me chargeant en vidant son stock de lancefeu, mon bouclier tient trois secondes et ma coque descend à 75 % avant que j’ai eu le temps de me placer derrière lui (je préfère me faire tirer dessus par sa tourelle arrière que ses missiles). Et là, l’intelligence pirate se montre enfin, sous un feu nourri, le nova tente de lancer 4 missiles d’affilée, et meurt stupidement au cinquième.
Les 3 discos restants, fidèle à leur habitude, se sont lamentablement crashés sur l’usine.
Enfin un peu de calme, je tente une sortie pour réparer mon vaisseau (à 90% bien sur) et regarde ce que m’ont laissé les pirates : un blanchedame, deux lancefeux et un feusauvage. Vu ce que vont me coûter les réparations, c’est pas cher payé.
Le chef de l’usine me contacte et me verse une prime de 60231 Cr. Bon, c’est pas mal.
Je me replonge donc dans la patrouille du secteur pour voir apparaître 9 vaisseaux sur mon gravidar. Panique à bord, mon vaisseau est toujours à 90% de coque.
Un rapide coup d’œil m’indique 4 Fujin, un Fujin transporteur, un Raijin, un Raijin sentinelle et un Susanowa.
Ceux-ci semblent plus s’intéresser aux vaisseaux civils du coin qu’à ma pomme. Je les engage donc un par un.
Les Fujin ne sont qu’une formalité (le transporteur compris) et me donnent deux feusauvages, le premier Raijin est abattu sans somation, le deuxième s’éjecte à 17% de coque. Le Susanowa se bat jusqu’à la fin et me lâche un feusauvage.
Je profite du calme temporaire pour réparer à 90% le Raijin et l’envoyer au chantier spatial pour rejoindre le Déméter et le premier Raijin.
Mais il se fait intercepter sur le chemin par deux Susanowa, un Raijin et un Fujin que je n’avais pas vu.
Je décide donc de le venger. Le Raijin est abattu rapidement et le Fujin bail à 12%.
Je me retrouve donc face au deux derniers M3…qui s’éjecte l’un après l’autre avec 66 et 79 % de coque restante, ce qui met fin à la patrouille en augment mon pécule de 44730 Cr pour avoir abattu 14 vaisseaux.
Tout le monde est envoyé au chantier spatial pendant que je m’excuse auprès d’un Tresher passé inexplicablement ennemi.
La vente de tout ce petit monde me permet de récupérer 2 461 000 Cr ainsi que 4 lphe, 3 drones et un blanchedame.
J’utilise cet argent afin de finir de booster et réparer mon Skate, qui atteint maintenant la vitesse honorable de 180 m/s et s’équipe du logiciel MARS.
J’ai repéré pendant la patrouille de nombreux vaisseaux Téladis se dirigeant vers le portail au nord du secteur. Ils sont réputés pour être de très bons marchands, et je commence à en avoir marre des « au nom de la reine » par ci « nous venons en paix » par là. Après les poulpes, les lézards seront peut-être moins ennuyeux, et peut-être que tout le monde ne saura pas que j’ai une dette et que j’y suis jusqu’au cou.
Je mets alors le cap vers le secteur téladi, et à 5 kilomètres du portail, je parviens à déchiffrer grâce aux jumelles « portail vers Béatitude de la Corruption ».
Un nom qui en dit long sur la philosophie des autochtones.
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cyrilto
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- Joined: Thu, 29. Oct 09, 10:03
Episode 5 la rencontre.
Je traverse donc le portail, et tombe nez à nez avec un transporteur de matière dangereuses du Duc, que mon système de combat me notifie comme hostile. Pas le temps de choisir quoi faire que les tourelles commencent à tirer sur le transporteur, qui largue rapidement une cargaison de 258 photopiles. J’insiste un peu et il s’éjecte à 84 % de coque, une réclamation plus tard, il se dirige gentiment vers le chantier spatial de Châtiment de la Reine où il sera vendu pour 359k. Je crois au passage un Compte Boron qui me gratifie d’un « pair noble » et me remet un insigne bizarre, qui brille. Il faudra que je regarde si je ne peux pas le vendre, ça vaut peut être de l’argent, et vu ma situation…
Je retourne donc en secteur Téladi, m’amarre à la station commerciale et m’achète une licence de chasseur de prime. Celle-ci, m’assure le vendeur, permettra à l’opportuniste de profit que je suis de toucher une récompense à chaque vaisseau ennemi de la nation Téladi détruit dans leur secteur.
Je continue donc mon chemin dans ce coin de l’univers à la rechercher de missions lucratives. Une mission d’assassinat m’est proposée dans Force de la compagnie. A priori pas trop difficile, elle permettra de gagner 42000 Cr rapidement. Je me dirige donc vers Grand échange pour éliminer ce criminel échappé d’une prison de haute sécurité (ça laisse songeur…).
Je croise un grand groupe de Xénons dans Larmes de Convoitises, mais préfère les éviter, la mission étant chronométrée, et le risque étant trop grand de mourir.
La cible, un Faucon pirate, est accompagnée de deux Buses, trois Disco et deux Harrier.
Le Faucon est assez loin à la traine derrière le reste de la troupe aux prises avec les forces de police locale. Son élimination est rapide et sans bavure. Il en va de même pour la patrouille qui me laisse un feusauvage, un blanchedame et 19 unités de Kif de l’espace, revendu pour quelques crédits à la station commerciale.
Je retourne voir ce que donne l’invasion Xénon dans Larmes de Convoitise : un P, neuf L, six M et quatre N, je ne suis pas de taille, je ramasse le missile ouragan et le feusauvage qui trainaient près de la porte et mets le cap vers Anneaux d’Arguilar.
Et revoici nos Xénons.
Il faut croire qu’ils ont décidés d’envahir le monde.
Huit L, six M et deux N combattent contre un M1, un M7 et quelques M6 Argon appartenant à la compagnie Jonferco. Je laisse tout ce petit monde s’entretuer et ramasse tranquillement les cinq blanchedames, six feusauvages le marteau et le rapière qui trainent.
Un petit arrimage au QG en passant me permet de constater deux choses.
Ces ignobles Argons n’ont aucun goût, leur QG n’a en rien la magnificence du QG Atreus.
Un hall crasseux, rempli d’ignobles Argons. Les gardes discutent entre eux et ne prêtent même pas attention à ce qui se trame autour d’eux. Je surprends d’ailleurs deux hommes échangeant des produits illicites. Leur magasin d’équipement est vide, il ne comprend même pas de moteur de saut. Le vendeur reprend mes missiles de mauvaise grâce. Il est vrai qu’entre les Paranides et les Argons, ce n’est pas l’amour fou en ce moment. Depuis que des vaisseaux de mon peuple, guidés par la lumière sainte, ont abattu des Argons profanant les secteurs sacrés par leur seule présence, les diplomates des deux camps ont du mal à retenir les chiens de guerre. Depuis, les Mines impériales et la Base Nuée du Sud Est grouillent de vaisseaux de combats.
Je n’ai que trop trainé ici, et retourne à mon vaisseau.
Soudain, un Argon antipathique m’interpelle :
« Bonjour M. Tuckp, Tupak, M.Tupkanoplanks. »
Ca commence bien, il est incapable de prononcer mon nom correctement.
« Je suis au courant de vos problèmes »
Et voilà que ça recommence…après les Borons, les Argons.
« J’ai des informations à propos de ce qu’il vous est arrivé, et des raisons pour lesquelles cela vous est arrivé, suivez moi. »
Je lui emboite le pas, tentant de lui extirper des informations mais celui-ci contente de me dire d’attendre.
Nous arrivons dans une petite salle, rectangulaire, sombre. Il traîne une odeur de renfermé, et de quelque chose d’autre que je n’arrive pas à définir. Au milieu se trouvent deux chaises et une table. L’homme s’assied et m’invite à en faire de même.
La chaise est inconfortable, elle n’est pas destinée à recevoir des gens de mon espèce.
« Vous ne vous souvenez de rien ? »
Au moins, on ne perd pas de temps en fioriture avec ce type. La conversation s’engage donc sans autre forme de préambule.
- Vous ne vous rappelez pas le vaisseau ?
- Quel vaisseau ?
- Hum…c’est ennuyeux.
- De quoi ? Quel vaisseau ? Qu’est ce qui est ennuyeux ? Et que savez-vous de moi ou des raisons qui m’ont mises dans ce pétrin ?
- M. Tupkanoplanks, voyez vous, on vous a injecté une dose mortelle de poison, ou tout du moins, qui aurait due être mortelle. Malheureusement, même si elle vous a laissé en vie, elle vous a fait perdre la mémoire.
- Si vous savez des choses que je ne sais pas, il serait temps de me les dire !
- J’y viens, j’y viens. L’homme que vous deviez rencontrer sur le Déméter est un contrebandier très recherché, et ce, par tout le Commonwealth.
Le Commonwealth…seuls les Terriens nomment comme cela l’univers…Cet homme n’est pas Argon, mais Terrien !
- Ainsi, vous deviez échanger les plans de la nouvelle arme Paranide contre de l’argent, 25 000 000 de crédits précisément.
- Mais, c’est la somme que m’a demandée le Boron !
- C’est exact.
- Mais pourquoi un Boron ?
- Croyez vous qu’il serait assez stupide pour retourner vendre les plans aux Paranides ? Il serait exécuté sur le champ. Les Borons jouent le rôle d’intermédiaires dans cette histoire.
- Mais, pourquoi dois-je verser 25 000 000 de crédits ? Mon clergé a largement les moyens de payer ?
- Certes, le paiement est d’ailleurs déjà finalisé, mais vous ne pensiez tout de même pas vous en tirer comme ça ? La vente de plans classés top secret aurait du vous rapporter la peine capitale.
- Alors pourquoi suis-je encore en vie ?
- Vous nous servirez d’appât pour retrouver notre contrebandier, M. Yarkiss. Vous êtes encore en vie, et êtes la seule personne à notre connaissance à avoir jamais vu son visage.
- Mais j’ai tout oublié !
- Ca, nous le savons, mais pas lui. Faites attention à vous M. Tupkanoplanks, il est dors et déjà à votre recherche.
Je traverse donc le portail, et tombe nez à nez avec un transporteur de matière dangereuses du Duc, que mon système de combat me notifie comme hostile. Pas le temps de choisir quoi faire que les tourelles commencent à tirer sur le transporteur, qui largue rapidement une cargaison de 258 photopiles. J’insiste un peu et il s’éjecte à 84 % de coque, une réclamation plus tard, il se dirige gentiment vers le chantier spatial de Châtiment de la Reine où il sera vendu pour 359k. Je crois au passage un Compte Boron qui me gratifie d’un « pair noble » et me remet un insigne bizarre, qui brille. Il faudra que je regarde si je ne peux pas le vendre, ça vaut peut être de l’argent, et vu ma situation…
Je retourne donc en secteur Téladi, m’amarre à la station commerciale et m’achète une licence de chasseur de prime. Celle-ci, m’assure le vendeur, permettra à l’opportuniste de profit que je suis de toucher une récompense à chaque vaisseau ennemi de la nation Téladi détruit dans leur secteur.
Je continue donc mon chemin dans ce coin de l’univers à la rechercher de missions lucratives. Une mission d’assassinat m’est proposée dans Force de la compagnie. A priori pas trop difficile, elle permettra de gagner 42000 Cr rapidement. Je me dirige donc vers Grand échange pour éliminer ce criminel échappé d’une prison de haute sécurité (ça laisse songeur…).
Je croise un grand groupe de Xénons dans Larmes de Convoitises, mais préfère les éviter, la mission étant chronométrée, et le risque étant trop grand de mourir.
La cible, un Faucon pirate, est accompagnée de deux Buses, trois Disco et deux Harrier.
Le Faucon est assez loin à la traine derrière le reste de la troupe aux prises avec les forces de police locale. Son élimination est rapide et sans bavure. Il en va de même pour la patrouille qui me laisse un feusauvage, un blanchedame et 19 unités de Kif de l’espace, revendu pour quelques crédits à la station commerciale.
Je retourne voir ce que donne l’invasion Xénon dans Larmes de Convoitise : un P, neuf L, six M et quatre N, je ne suis pas de taille, je ramasse le missile ouragan et le feusauvage qui trainaient près de la porte et mets le cap vers Anneaux d’Arguilar.
Et revoici nos Xénons.
Il faut croire qu’ils ont décidés d’envahir le monde.
Huit L, six M et deux N combattent contre un M1, un M7 et quelques M6 Argon appartenant à la compagnie Jonferco. Je laisse tout ce petit monde s’entretuer et ramasse tranquillement les cinq blanchedames, six feusauvages le marteau et le rapière qui trainent.
Un petit arrimage au QG en passant me permet de constater deux choses.
Ces ignobles Argons n’ont aucun goût, leur QG n’a en rien la magnificence du QG Atreus.
Un hall crasseux, rempli d’ignobles Argons. Les gardes discutent entre eux et ne prêtent même pas attention à ce qui se trame autour d’eux. Je surprends d’ailleurs deux hommes échangeant des produits illicites. Leur magasin d’équipement est vide, il ne comprend même pas de moteur de saut. Le vendeur reprend mes missiles de mauvaise grâce. Il est vrai qu’entre les Paranides et les Argons, ce n’est pas l’amour fou en ce moment. Depuis que des vaisseaux de mon peuple, guidés par la lumière sainte, ont abattu des Argons profanant les secteurs sacrés par leur seule présence, les diplomates des deux camps ont du mal à retenir les chiens de guerre. Depuis, les Mines impériales et la Base Nuée du Sud Est grouillent de vaisseaux de combats.
Je n’ai que trop trainé ici, et retourne à mon vaisseau.
Soudain, un Argon antipathique m’interpelle :
« Bonjour M. Tuckp, Tupak, M.Tupkanoplanks. »
Ca commence bien, il est incapable de prononcer mon nom correctement.
« Je suis au courant de vos problèmes »
Et voilà que ça recommence…après les Borons, les Argons.
« J’ai des informations à propos de ce qu’il vous est arrivé, et des raisons pour lesquelles cela vous est arrivé, suivez moi. »
Je lui emboite le pas, tentant de lui extirper des informations mais celui-ci contente de me dire d’attendre.
Nous arrivons dans une petite salle, rectangulaire, sombre. Il traîne une odeur de renfermé, et de quelque chose d’autre que je n’arrive pas à définir. Au milieu se trouvent deux chaises et une table. L’homme s’assied et m’invite à en faire de même.
La chaise est inconfortable, elle n’est pas destinée à recevoir des gens de mon espèce.
« Vous ne vous souvenez de rien ? »
Au moins, on ne perd pas de temps en fioriture avec ce type. La conversation s’engage donc sans autre forme de préambule.
- Vous ne vous rappelez pas le vaisseau ?
- Quel vaisseau ?
- Hum…c’est ennuyeux.
- De quoi ? Quel vaisseau ? Qu’est ce qui est ennuyeux ? Et que savez-vous de moi ou des raisons qui m’ont mises dans ce pétrin ?
- M. Tupkanoplanks, voyez vous, on vous a injecté une dose mortelle de poison, ou tout du moins, qui aurait due être mortelle. Malheureusement, même si elle vous a laissé en vie, elle vous a fait perdre la mémoire.
- Si vous savez des choses que je ne sais pas, il serait temps de me les dire !
- J’y viens, j’y viens. L’homme que vous deviez rencontrer sur le Déméter est un contrebandier très recherché, et ce, par tout le Commonwealth.
Le Commonwealth…seuls les Terriens nomment comme cela l’univers…Cet homme n’est pas Argon, mais Terrien !
- Ainsi, vous deviez échanger les plans de la nouvelle arme Paranide contre de l’argent, 25 000 000 de crédits précisément.
- Mais, c’est la somme que m’a demandée le Boron !
- C’est exact.
- Mais pourquoi un Boron ?
- Croyez vous qu’il serait assez stupide pour retourner vendre les plans aux Paranides ? Il serait exécuté sur le champ. Les Borons jouent le rôle d’intermédiaires dans cette histoire.
- Mais, pourquoi dois-je verser 25 000 000 de crédits ? Mon clergé a largement les moyens de payer ?
- Certes, le paiement est d’ailleurs déjà finalisé, mais vous ne pensiez tout de même pas vous en tirer comme ça ? La vente de plans classés top secret aurait du vous rapporter la peine capitale.
- Alors pourquoi suis-je encore en vie ?
- Vous nous servirez d’appât pour retrouver notre contrebandier, M. Yarkiss. Vous êtes encore en vie, et êtes la seule personne à notre connaissance à avoir jamais vu son visage.
- Mais j’ai tout oublié !
- Ca, nous le savons, mais pas lui. Faites attention à vous M. Tupkanoplanks, il est dors et déjà à votre recherche.
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hoplite7
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- Joined: Sun, 9. Apr 06, 12:19
-
cyrilto
- Posts: 8
- Joined: Thu, 29. Oct 09, 10:03
Je suis dans le jeu depuis peu après sa sortie . Le rythme est un peu plus lent en ce moment, je m'en excuse, mais mes cours me prennent pas mal de temps.
Et voici l'épisode suivant !
Episode 6 Les diplomates.
Décidément, ça n’est pas mon jour, voilà que maintenant, en plus d’une dette énorme, je suis recherché par un contrebandier que toutes les forces du Commonwealth n’ont jamais réussi à attraper.
- Pour le moment, vous êtes hors de danger, les récentes invasions Xénons ont mis fin temporairement à son trafic, et nombre de ses contacts ont été tués. Mais un Téladi tel que lui, il ne lui faudra pas longtemps pour se remettre sur votre trace.
- Mais…mais…
- Bonne chance M. Tupkanoplanks. Je ne peux malheureusement par rester, je suis attendu.
Sur ces derniers mots, le Terriens me laisse sur mon inconfortable siège et repart.
Me voilà endetté et recherché. Au moins, je sais que c’est un Téladi. Et un contrebandier, donc volant dans un vaisseau Pirate.
Je n’ai malheureusement pas le temps de m’apitoyer sur mon sort, il faut que je réunisse la somme. Si seulement j’avais pu simplement continuer ma petite vie tranquille de chercheur militaire…
En repartant, je reçois un message radio issu de l’usine de rame L béta. Des pirates l’attaquent, et le gérant a besoin d’aide. Des pirates… A partir de maintenant, je dois me méfier, on ne sait jamais, ils peuvent être des informateurs à la solde de Yarkiss.
Je décide tout de même de voler au secours de l’usine et détruit sans encombres les deux discos et une des buses composant la force d’attaque. Le Scorpion et la dernière Buse s’éjectent avec respectivement 64 et 66% de coque. De plus, je gagne 70 000 Cr grâce à la mission.
Et c’est alors que je reçois un message on ne peut plus étranges :
« Des diplomates Terriens s’apprêtent à partir vers la Ceinture d’Astéroïdes, des pilotes sont demandés pour les escorter. »
D’ailleurs, Pourquoi m’a-t-on envoyé ce message ? En tant que Paranide, je ne suis pas un franc amis des Argons, qu’est ce qui a pu leur donner cette étrange idée…A moins que ce ne soit mon étrange contact de tout à l’heure… Serait-ce possible ? Le Terrien a dit qu’il était occupé… L’occasion est trop belle, il faut que je me joigne au convoi. Direction, Omycron Lyrae.
Je continue donc mon chemin, explorant ça et là, enrichissant ma carte de l’univers, et augmentant ainsi les opportunités de gagner des crédits.
Un petit coup d’œil sur mon compte en banque m’indique que je possède maintenant 2 875 000 Cr. C’est encore trop peu.
En passant dans Coffre au Trésor, une mission d’assassinat m’est proposée par un compatriote. Il n’aime pas les pirates, et est prêt à payer pour que j’en élimine un, et à payer 125 000 Cr. De plus, le départ du convoi n’est pas pour tout de suite, et j’ai grandement besoin d’argent.
Je fonce donc vers Soleil Noir à la recherche du Faucon avant-garde cible.
Il se promène seul sans escorte, son élimination n’est donc qu’une simple formalité.
Soudain, une voix hurle dans ma radio :
« Invasion Xénon en approche, à tous les pilotes sur zone, protégez à tous prix l’avant poste militaire ! »
La rémunération est bonne, je décide donc de participer à la survie de la patrie argonne un comble pour moi !
Une forge de canons à répétition de phase à elle aussi besoin de mon aide, mais contre des pirates cette fois.
J’accepte aussi et c’est un immense feu d’artifice qui débute alors.
Des pirates, des Xénons, ça explose dans tout les sens, on se croirait à l’holovision dans un film de guerre. Un pilote de Nova comprend qu’il n’a aucune chance et s’éjecte de son vaisseau.
L’élimination des derniers récalcitrants prend une bonne vingtaine de minute, mais ça en valait la peine : 75 000 crédits sur les deux missions, et aucun Pirate n’a survécu, ni aucune transmission émise. Je peux enfin respirer et reprendre ma route vers Omycron Lyrae.
Mais une fois sur place, on m’informe que le convoi ne partira que dans quelques temps.
Je décide donc de reprendre mon exploration.
J’arrive dans un secteur Argon, Cercle du Travail. Un homme me propose de scanner des astéroïdes pour lui. Ce n’est pas cher payé, mais c’est sans risques. Je commence donc à scanner mes cinq astéroïdes, une fois ceci fait, on me demande d’en scanner cinq autres dans Omicron Lyrae, ce qui n’est qu’une formalité, qui me rapporte tout de même 64 000 Crédits. Une mission de protection m’est proposée dans le secteur, j’ai du temps à tuer et de l’argent à gagner, j’accepte donc. Une Buse, un Scorpion et quatre Discos traversent le portail, se dirigeant vers l’usine. Ils sont abattus sans problèmes, mais ne me rapportent pratiquement rien.
Soudain, j’entends et vois des tirs de lasers qui passent à coté de moi, et me touchent. Une Méduse prototype paranide m’attaque. Je me défends donc, mais avec appréhension, je ne voudrais pas que les forces de police locale se décident à me tirer dessus. Le vaisseau est abattu, et personne ne semble décidé à m’attaquer. Tant mieux.
J’en profite pour vendre mon Nova pour 1 315 000. Pratiquement 5 000 000 de Crédits. Un cinquième de la somme. Et en seulement sept heures.
Les diplomates Terriens sont enfin prêts à partir. Je prends contact avec le chef de la mission de protection Argon. Il veut redorer le blason de l’armée argonne. Ça me fait une belle jambe…j’aurais presque envie de faire rater la mission volontairement.
Nous partons donc vers Cercle du Travail. Le transport est un Fourreau terrien.
Une fois dans Cercle du Travail, des pirates nous attaquent. Un Nova, une Buse et deux Discos. Le pilote de la Buse, dans un sursaut de clairvoyance, s’éjecte de son vaisseau. Je le récupère, le répare rapidement à 50 % et l’envoie au chantier spatial d’Omicron Lyrae.
Des pirates, pourquoi attaqueraient-ils un convoi diplomatique terriens ?
A moins que ces attaques soient liées à la présence de l’inconnu ?
Il m’a bien mis en garde contre un contrebandier. Ce serait lié ?
Nous continuons alors notre chemin vers les secteurs terriens, vers Fin des Hérétiques.
. Le rythme est un peu plus lent en ce moment, je m'en excuse, mais mes cours me prennent pas mal de temps.Et voici l'épisode suivant !
Episode 6 Les diplomates.
Décidément, ça n’est pas mon jour, voilà que maintenant, en plus d’une dette énorme, je suis recherché par un contrebandier que toutes les forces du Commonwealth n’ont jamais réussi à attraper.
- Pour le moment, vous êtes hors de danger, les récentes invasions Xénons ont mis fin temporairement à son trafic, et nombre de ses contacts ont été tués. Mais un Téladi tel que lui, il ne lui faudra pas longtemps pour se remettre sur votre trace.
- Mais…mais…
- Bonne chance M. Tupkanoplanks. Je ne peux malheureusement par rester, je suis attendu.
Sur ces derniers mots, le Terriens me laisse sur mon inconfortable siège et repart.
Me voilà endetté et recherché. Au moins, je sais que c’est un Téladi. Et un contrebandier, donc volant dans un vaisseau Pirate.
Je n’ai malheureusement pas le temps de m’apitoyer sur mon sort, il faut que je réunisse la somme. Si seulement j’avais pu simplement continuer ma petite vie tranquille de chercheur militaire…
En repartant, je reçois un message radio issu de l’usine de rame L béta. Des pirates l’attaquent, et le gérant a besoin d’aide. Des pirates… A partir de maintenant, je dois me méfier, on ne sait jamais, ils peuvent être des informateurs à la solde de Yarkiss.
Je décide tout de même de voler au secours de l’usine et détruit sans encombres les deux discos et une des buses composant la force d’attaque. Le Scorpion et la dernière Buse s’éjectent avec respectivement 64 et 66% de coque. De plus, je gagne 70 000 Cr grâce à la mission.
Et c’est alors que je reçois un message on ne peut plus étranges :
« Des diplomates Terriens s’apprêtent à partir vers la Ceinture d’Astéroïdes, des pilotes sont demandés pour les escorter. »
D’ailleurs, Pourquoi m’a-t-on envoyé ce message ? En tant que Paranide, je ne suis pas un franc amis des Argons, qu’est ce qui a pu leur donner cette étrange idée…A moins que ce ne soit mon étrange contact de tout à l’heure… Serait-ce possible ? Le Terrien a dit qu’il était occupé… L’occasion est trop belle, il faut que je me joigne au convoi. Direction, Omycron Lyrae.
Je continue donc mon chemin, explorant ça et là, enrichissant ma carte de l’univers, et augmentant ainsi les opportunités de gagner des crédits.
Un petit coup d’œil sur mon compte en banque m’indique que je possède maintenant 2 875 000 Cr. C’est encore trop peu.
En passant dans Coffre au Trésor, une mission d’assassinat m’est proposée par un compatriote. Il n’aime pas les pirates, et est prêt à payer pour que j’en élimine un, et à payer 125 000 Cr. De plus, le départ du convoi n’est pas pour tout de suite, et j’ai grandement besoin d’argent.
Je fonce donc vers Soleil Noir à la recherche du Faucon avant-garde cible.
Il se promène seul sans escorte, son élimination n’est donc qu’une simple formalité.
Soudain, une voix hurle dans ma radio :
« Invasion Xénon en approche, à tous les pilotes sur zone, protégez à tous prix l’avant poste militaire ! »
La rémunération est bonne, je décide donc de participer à la survie de la patrie argonne un comble pour moi !
Une forge de canons à répétition de phase à elle aussi besoin de mon aide, mais contre des pirates cette fois.
J’accepte aussi et c’est un immense feu d’artifice qui débute alors.
Des pirates, des Xénons, ça explose dans tout les sens, on se croirait à l’holovision dans un film de guerre. Un pilote de Nova comprend qu’il n’a aucune chance et s’éjecte de son vaisseau.
L’élimination des derniers récalcitrants prend une bonne vingtaine de minute, mais ça en valait la peine : 75 000 crédits sur les deux missions, et aucun Pirate n’a survécu, ni aucune transmission émise. Je peux enfin respirer et reprendre ma route vers Omycron Lyrae.
Mais une fois sur place, on m’informe que le convoi ne partira que dans quelques temps.
Je décide donc de reprendre mon exploration.
J’arrive dans un secteur Argon, Cercle du Travail. Un homme me propose de scanner des astéroïdes pour lui. Ce n’est pas cher payé, mais c’est sans risques. Je commence donc à scanner mes cinq astéroïdes, une fois ceci fait, on me demande d’en scanner cinq autres dans Omicron Lyrae, ce qui n’est qu’une formalité, qui me rapporte tout de même 64 000 Crédits. Une mission de protection m’est proposée dans le secteur, j’ai du temps à tuer et de l’argent à gagner, j’accepte donc. Une Buse, un Scorpion et quatre Discos traversent le portail, se dirigeant vers l’usine. Ils sont abattus sans problèmes, mais ne me rapportent pratiquement rien.
Soudain, j’entends et vois des tirs de lasers qui passent à coté de moi, et me touchent. Une Méduse prototype paranide m’attaque. Je me défends donc, mais avec appréhension, je ne voudrais pas que les forces de police locale se décident à me tirer dessus. Le vaisseau est abattu, et personne ne semble décidé à m’attaquer. Tant mieux.
J’en profite pour vendre mon Nova pour 1 315 000. Pratiquement 5 000 000 de Crédits. Un cinquième de la somme. Et en seulement sept heures.
Les diplomates Terriens sont enfin prêts à partir. Je prends contact avec le chef de la mission de protection Argon. Il veut redorer le blason de l’armée argonne. Ça me fait une belle jambe…j’aurais presque envie de faire rater la mission volontairement.
Nous partons donc vers Cercle du Travail. Le transport est un Fourreau terrien.
Une fois dans Cercle du Travail, des pirates nous attaquent. Un Nova, une Buse et deux Discos. Le pilote de la Buse, dans un sursaut de clairvoyance, s’éjecte de son vaisseau. Je le récupère, le répare rapidement à 50 % et l’envoie au chantier spatial d’Omicron Lyrae.
Des pirates, pourquoi attaqueraient-ils un convoi diplomatique terriens ?
A moins que ces attaques soient liées à la présence de l’inconnu ?
Il m’a bien mis en garde contre un contrebandier. Ce serait lié ?
Nous continuons alors notre chemin vers les secteurs terriens, vers Fin des Hérétiques.
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xazax
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- Joined: Thu, 6. Nov 08, 16:22
Impressionnant !
Mais il y a de quoi avec la liberté absolue du jeux !
Il y a comme quelque chose qui retient mon attention !
Pourquoi il y a autant de pirates qui te lâchent leurs vaisseaux !?
Pas eu cette chance moi
Évidement ça aide bien ^^
Bonne continuation a Mr Jaiunnomimprononssable xD
Vivement la suite
Mais il y a de quoi avec la liberté absolue du jeux !
Il y a comme quelque chose qui retient mon attention !
Pourquoi il y a autant de pirates qui te lâchent leurs vaisseaux !?
Pas eu cette chance moiÉvidement ça aide bien ^^
Bonne continuation a Mr Jaiunnomimprononssable xD
Vivement la suite
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cyrilto
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- Joined: Thu, 29. Oct 09, 10:03
Episode 7 Le contrebandier
Nous arrivons dans se secteur, le premier secteur terrien que je visite. Et pour une première, voici des Xénons, une petite force d’attaque composée de deux M et deux N.
Une centrale solaire requiert mon aide, elle subit une attaque de Pirates. Encore eux. Le combat se déroule sans accrochages et me rapporte 46 000 Crédits.
Nous continuons donc notre escorte, qui ne nous conduit pas bien loin. Le vaisseau s’arrime à une station de défense orbitale.
Je décide de les suivre.
Je suis un peu déçu. Ce n’est pas ce à quoi je m’attendais. Tout ici n’est que fonctionnel, rien n’est laissé au hasard. Chaque chose a sa place, chaque chose a une utilité. C’est à la limite du spartiate.
Je me rends au hall d’accueil, afin de tenter de retrouver l’inconnu.
Vous avez déjà essayé d’expliquer à une standardiste, qui, à l’évidence, n’a rien à faire de votre problème, que vous cherchez un Terrien, dont vous ne connaissez pas le nom, et dont vous êtes a peine capable de décrire le visage ? Ben, je vous invite à le faire, c’est très instructif. Quoi qu’il en soit, après un long moment, je réussis enfin à obtenir les renseignements que je cherchais, et une carte du complexe en prime.
Je me rends au lieu indiqué par la standardiste.
Je frappe à la porte.
Je refrappe à la porte.
Rien.
Pourtant la standardiste m’a assurée qu’il était là.
Je remarque alors une micro-caméra implantée juste au dessus de la porte.
J’insiste encore un peu, et c’est avec surprise que la porte s’ouvre enfin sur mon Terrien, enroulé dans une serviette.
- Que faites-vous ici ? Pourquoi m’avez-vous suivi ?
- Je voulais…
A peine ces deux mots sortis de ma bouche, me voici entrainé dans sa cabine.
- Vous êtes fou ? Si quelqu’un vous voyait ? Vous n’êtes pas le bienvenu ici !
Et bien, ce n’est pas ce que j’appelle un accueil chaleureux…
- Vous ne m’avez pas vraiment laissé le choix. Vous me balancez que je suis poursuivi par un contrebandier, et vous vous attendiez à ce que j’en reste là ?
- Je crois que vous ne mesurez pas très bien la situation dans laquelle vous êtes M. Tupkanoplanks.
- Alors expliquez-moi !
- Votre problème ne se limite pas à Yarkiss. Du fait de votre acte, vous êtes persona non grata dans tout l’univers. Le prêtre Duc vous a déclaré ennemi de la nation Paranide. Les Splits ne veulent pas entendre parler de vous. Les Borons, du fait de leur façon de vivre, vous tolèrent, les Argons ne savent sur quel pied danser, d’un coté, vous leur plaisez car vous avez sérieusement mis en péril vos semblables, et d’un autre, vous restez un Paranide, et donc, un ennemi potentiel. Quant aux Terriens, bien, nous ne voulons pas nous mêler de ce genre d’histoires. Notre situation est bien trop précaire pour nous le permettre. Voyez vous, le Commonwealth ne nous voit pas d’un très bon œil.
- En gros, je suis mal barré…
- Ça pourrait être pire. Voilà ce que je vous propose, nous avons des problèmes d’incursions d’IAG dans nos secteurs ces derniers temps, participez à une patrouille. Pendant ce temps, je verrais ce que je peux faire pour vous permettre de circuler plus facilement. Bien évidemment, vous serez payé.
Bon, ça me laisse une chance de me racheter une conduite, et donc de faciliter l’obtention de mes 25 millions de crédits.
- Très bien, j’accepte.
- Parfait, rendez vous dehors, prenez contact avec le chef de la patrouille aux abords d’Uranus. Revenez me voir une fois que ce sera fait.
Et me voici reparti pour une destination inconnue. Je suis mon le plan de route qui m’a été fourni. Le voyage est long, très long, trop long… Les secteurs terriens sont immenses, et pour je ne sais quelle raison, il m’est impossible d’utiliser mon moteur de saut ici. Béni soit l’inventeur du MATS.
J’arrive enfin dans le secteur cible, et je prends contact avec le chef de la patrouille qui vole à bord d’un Cimeterre. Il est accompagné de deux Sabres.
-Bonjour, je viens pour la patrouille.
-Très bien, on va voir ce que vous avez dans le ventre. Nous partons pour Neptune, suivez nous.
Et me revoici parti pour un long voyage jusqu’au secteur de Neptune, où un missile poltergeist traine, enfin, pas très longtemps.
« Des IAG attaquent le secteur Neptune, à tous les vaisseaux, rendez vous immédiatement dans ce secteur »
Nous voici donc parti pour chasser ces IAG. Le combat n’est pas très difficile, uniquement quelques N et M. Mais il apparaît vite que ce n’était qu’une diversion afin de voler des informations secrètes au Terrien. Mon chef d’escadrille m’ordonne donc de me rendre dans le secteur Nuage d’Oort, où sont censé arriver les drones. J’obtempère donc, un peu agacé de devoir encore traverser ces secteurs immenses.
Une fois sur place, il m’est demandé de suivre un drone messager jusqu’à une mystérieuse balise où attend un Nova, qui, dès qu’il ma repéré, détruit la balise et saute vers une destination inconnue.
« Pilote, rendez vous dans le secteur de Pluton, une attaque IAG à lieu là bas. »
C’est encore plus le souk qu’en secteur Boron. La sécurité laisse à désirer.
Ce sont des groupes de chasseurs M, N et L qui m’attendent là bas, et qui sont abattus sans problèmes.
La patrouille continue alors dans le secteur de Neptune, où cette fois, je dois faire face à mon premier vaisseaux lourd de combat. Un P, escorté par 2 M et 2 N.
Celui-ci est aux prises avec un Aegir. J’arrive à temps pour tirer le dernier coup et empocher la prime pour avoir abattu le vaisseau. Le commandant du vaisseau de ligne doit m’en vouloir de lui voler ainsi son dû, m’enfin, il n’y a pas de petit profit (cette expression doit venir d’un Téladi, et voilà que je me mets à parler comme eux…Il me faut des vacances, une fois tout ceci terminé, je m’expatrie un mois complet sur une colonie bien chaude et humides).
La suite de la patrouille m’emmène dans les secteurs Uranus et Saturne, où l’on me demande de m’amarrer à une station de recherche orbitale, où je serais payé, ce que, vous imaginez bien, je m’empresse de faire. Et me voici à la tête d’un capital de plus de 5 millions de Crédit. Et il me reste 63 h pour récupérer le reste de la somme.
Je retourne donc voir mon inconnu, fort de ma nouvelle respectabilité acquise chez les Terriens.
Nous arrivons dans se secteur, le premier secteur terrien que je visite. Et pour une première, voici des Xénons, une petite force d’attaque composée de deux M et deux N.
Une centrale solaire requiert mon aide, elle subit une attaque de Pirates. Encore eux. Le combat se déroule sans accrochages et me rapporte 46 000 Crédits.
Nous continuons donc notre escorte, qui ne nous conduit pas bien loin. Le vaisseau s’arrime à une station de défense orbitale.
Je décide de les suivre.
Je suis un peu déçu. Ce n’est pas ce à quoi je m’attendais. Tout ici n’est que fonctionnel, rien n’est laissé au hasard. Chaque chose a sa place, chaque chose a une utilité. C’est à la limite du spartiate.
Je me rends au hall d’accueil, afin de tenter de retrouver l’inconnu.
Vous avez déjà essayé d’expliquer à une standardiste, qui, à l’évidence, n’a rien à faire de votre problème, que vous cherchez un Terrien, dont vous ne connaissez pas le nom, et dont vous êtes a peine capable de décrire le visage ? Ben, je vous invite à le faire, c’est très instructif. Quoi qu’il en soit, après un long moment, je réussis enfin à obtenir les renseignements que je cherchais, et une carte du complexe en prime.
Je me rends au lieu indiqué par la standardiste.
Je frappe à la porte.
Je refrappe à la porte.
Rien.
Pourtant la standardiste m’a assurée qu’il était là.
Je remarque alors une micro-caméra implantée juste au dessus de la porte.
J’insiste encore un peu, et c’est avec surprise que la porte s’ouvre enfin sur mon Terrien, enroulé dans une serviette.
- Que faites-vous ici ? Pourquoi m’avez-vous suivi ?
- Je voulais…
A peine ces deux mots sortis de ma bouche, me voici entrainé dans sa cabine.
- Vous êtes fou ? Si quelqu’un vous voyait ? Vous n’êtes pas le bienvenu ici !
Et bien, ce n’est pas ce que j’appelle un accueil chaleureux…
- Vous ne m’avez pas vraiment laissé le choix. Vous me balancez que je suis poursuivi par un contrebandier, et vous vous attendiez à ce que j’en reste là ?
- Je crois que vous ne mesurez pas très bien la situation dans laquelle vous êtes M. Tupkanoplanks.
- Alors expliquez-moi !
- Votre problème ne se limite pas à Yarkiss. Du fait de votre acte, vous êtes persona non grata dans tout l’univers. Le prêtre Duc vous a déclaré ennemi de la nation Paranide. Les Splits ne veulent pas entendre parler de vous. Les Borons, du fait de leur façon de vivre, vous tolèrent, les Argons ne savent sur quel pied danser, d’un coté, vous leur plaisez car vous avez sérieusement mis en péril vos semblables, et d’un autre, vous restez un Paranide, et donc, un ennemi potentiel. Quant aux Terriens, bien, nous ne voulons pas nous mêler de ce genre d’histoires. Notre situation est bien trop précaire pour nous le permettre. Voyez vous, le Commonwealth ne nous voit pas d’un très bon œil.
- En gros, je suis mal barré…
- Ça pourrait être pire. Voilà ce que je vous propose, nous avons des problèmes d’incursions d’IAG dans nos secteurs ces derniers temps, participez à une patrouille. Pendant ce temps, je verrais ce que je peux faire pour vous permettre de circuler plus facilement. Bien évidemment, vous serez payé.
Bon, ça me laisse une chance de me racheter une conduite, et donc de faciliter l’obtention de mes 25 millions de crédits.
- Très bien, j’accepte.
- Parfait, rendez vous dehors, prenez contact avec le chef de la patrouille aux abords d’Uranus. Revenez me voir une fois que ce sera fait.
Et me voici reparti pour une destination inconnue. Je suis mon le plan de route qui m’a été fourni. Le voyage est long, très long, trop long… Les secteurs terriens sont immenses, et pour je ne sais quelle raison, il m’est impossible d’utiliser mon moteur de saut ici. Béni soit l’inventeur du MATS.
J’arrive enfin dans le secteur cible, et je prends contact avec le chef de la patrouille qui vole à bord d’un Cimeterre. Il est accompagné de deux Sabres.
-Bonjour, je viens pour la patrouille.
-Très bien, on va voir ce que vous avez dans le ventre. Nous partons pour Neptune, suivez nous.
Et me revoici parti pour un long voyage jusqu’au secteur de Neptune, où un missile poltergeist traine, enfin, pas très longtemps.
« Des IAG attaquent le secteur Neptune, à tous les vaisseaux, rendez vous immédiatement dans ce secteur »
Nous voici donc parti pour chasser ces IAG. Le combat n’est pas très difficile, uniquement quelques N et M. Mais il apparaît vite que ce n’était qu’une diversion afin de voler des informations secrètes au Terrien. Mon chef d’escadrille m’ordonne donc de me rendre dans le secteur Nuage d’Oort, où sont censé arriver les drones. J’obtempère donc, un peu agacé de devoir encore traverser ces secteurs immenses.
Une fois sur place, il m’est demandé de suivre un drone messager jusqu’à une mystérieuse balise où attend un Nova, qui, dès qu’il ma repéré, détruit la balise et saute vers une destination inconnue.
« Pilote, rendez vous dans le secteur de Pluton, une attaque IAG à lieu là bas. »
C’est encore plus le souk qu’en secteur Boron. La sécurité laisse à désirer.
Ce sont des groupes de chasseurs M, N et L qui m’attendent là bas, et qui sont abattus sans problèmes.
La patrouille continue alors dans le secteur de Neptune, où cette fois, je dois faire face à mon premier vaisseaux lourd de combat. Un P, escorté par 2 M et 2 N.
Celui-ci est aux prises avec un Aegir. J’arrive à temps pour tirer le dernier coup et empocher la prime pour avoir abattu le vaisseau. Le commandant du vaisseau de ligne doit m’en vouloir de lui voler ainsi son dû, m’enfin, il n’y a pas de petit profit (cette expression doit venir d’un Téladi, et voilà que je me mets à parler comme eux…Il me faut des vacances, une fois tout ceci terminé, je m’expatrie un mois complet sur une colonie bien chaude et humides).
La suite de la patrouille m’emmène dans les secteurs Uranus et Saturne, où l’on me demande de m’amarrer à une station de recherche orbitale, où je serais payé, ce que, vous imaginez bien, je m’empresse de faire. Et me voici à la tête d’un capital de plus de 5 millions de Crédit. Et il me reste 63 h pour récupérer le reste de la somme.
Je retourne donc voir mon inconnu, fort de ma nouvelle respectabilité acquise chez les Terriens.