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NalinElfleg
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NalinElfleg
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Bien, bien, bien... Je reviens sur La horde du contrevent. J'ai mis finalement plus de temps que je ne le pensais pour le lire, mais j'y reviendrais.
Comme je l'ai dit, le style est déroutant, haché, avec un vocabulaire inventé, surprenant et parfois, avouons-le, incompréhensible. Mais j'ai trouvé qu'il participait au récit et que, finalement, il ne gêne pas la lecture après quelques pages nécessaires à l'acclimatation.
A partir de là, on s'aperçoit que le récit alterne entre des phases de sérieux et de délire total (ne vous attendez pas à rire à gorges déployées, ce n'est pas dans ce sens que j'emploie "délire"). Petit à petit, l'histoire fait son chemin, comme les héros. Et au final, on s'aperçoit qu'on les accompagne plus qu'en lisant un simple roman. Le texte, son style et ses mots sont propres aux personnages et rythment le récit en fonction de la personne (membre de l'aventure) qui le raconte. Le texte est le caractère du conteur, ce qui prend là tout son sens.
Et au final, on lit plus un journal de bord qu'un roman et se retrouve avec l'envie d'accompagner la horde au bout de sa quête, découvrant par là un indice ou une idée sur ce qu'ils trouveront, par ici des gens peu communs.
Et c'est là que j'ai été déçu : la fin est révélée à la moitié de l'histoire. Et on se dit que l'aventure continuera comme jusqu'à ce point jusqu'à arriver à la fin que l'on connaît maintenant. Je me suis dit que ça ne valait du coup pas la peine de continuer que je ne voyais pas ce que ce livre pouvait finalement apporter de plus que ce qu'il n'avait fait maintenant : une histoire sympa.
J'ai donc laissé tomber plusieurs jours. Puis quand même, j'ai repris : parce que je n'aime pas laisser un livre en suspens ; et puis parce que non, il devait bien y avoir autre chose...
Alors j'ai recommencé à accompagner ces héros. Petit à petit, j'ai pris conscience qu'il y avait autre chose en fait que cette simple histoire Et quand ils sont arrivés au bout de leur quête, avec la fin prévue, je ne m'étais pas dit (oui, j'ai été naïf quand même sur le coup...) que tout cela ne servirai que de trame de fond pour autre chose. Pas une autre histoire mais plutôt, comme souvent, certaines considérations de l'auteur. Sans compter la toute dernière phrase qui ne pouvait être autre...
Quand aux réflexions de l'auteur, elles sont intéressante et je crois comprendre comment il a pu en arriver là, mais là, ça devient une analyse un peu personnelle...
Dire si j'ai aimé ou non ce roman, je ne sais pas, mais je ne regrette finalement pas l'avoir terminé.
Comme je l'ai dit, le style est déroutant, haché, avec un vocabulaire inventé, surprenant et parfois, avouons-le, incompréhensible. Mais j'ai trouvé qu'il participait au récit et que, finalement, il ne gêne pas la lecture après quelques pages nécessaires à l'acclimatation.
A partir de là, on s'aperçoit que le récit alterne entre des phases de sérieux et de délire total (ne vous attendez pas à rire à gorges déployées, ce n'est pas dans ce sens que j'emploie "délire"). Petit à petit, l'histoire fait son chemin, comme les héros. Et au final, on s'aperçoit qu'on les accompagne plus qu'en lisant un simple roman. Le texte, son style et ses mots sont propres aux personnages et rythment le récit en fonction de la personne (membre de l'aventure) qui le raconte. Le texte est le caractère du conteur, ce qui prend là tout son sens.
Et au final, on lit plus un journal de bord qu'un roman et se retrouve avec l'envie d'accompagner la horde au bout de sa quête, découvrant par là un indice ou une idée sur ce qu'ils trouveront, par ici des gens peu communs.
Et c'est là que j'ai été déçu : la fin est révélée à la moitié de l'histoire. Et on se dit que l'aventure continuera comme jusqu'à ce point jusqu'à arriver à la fin que l'on connaît maintenant. Je me suis dit que ça ne valait du coup pas la peine de continuer que je ne voyais pas ce que ce livre pouvait finalement apporter de plus que ce qu'il n'avait fait maintenant : une histoire sympa.
J'ai donc laissé tomber plusieurs jours. Puis quand même, j'ai repris : parce que je n'aime pas laisser un livre en suspens ; et puis parce que non, il devait bien y avoir autre chose...
Alors j'ai recommencé à accompagner ces héros. Petit à petit, j'ai pris conscience qu'il y avait autre chose en fait que cette simple histoire Et quand ils sont arrivés au bout de leur quête, avec la fin prévue, je ne m'étais pas dit (oui, j'ai été naïf quand même sur le coup...) que tout cela ne servirai que de trame de fond pour autre chose. Pas une autre histoire mais plutôt, comme souvent, certaines considérations de l'auteur. Sans compter la toute dernière phrase qui ne pouvait être autre...
Quand aux réflexions de l'auteur, elles sont intéressante et je crois comprendre comment il a pu en arriver là, mais là, ça devient une analyse un peu personnelle...
Dire si j'ai aimé ou non ce roman, je ne sais pas, mais je ne regrette finalement pas l'avoir terminé.
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NalinElfleg
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[suite JRAD]
Shikasta, par peu lisible, tu veux dire quoi ? Ce qu'on m'a dit surtout, c'est qu'il n'a pas été réédité et que pour le trouver, il faut une bonne dose de chance. 'fin, en attendant, j'ai trouvé un Keith Roberts.
Quand à van-Vogt, ce que je reproche (même si j'avoue avoir beaucoup aimé au début), c'est ses romans sans queue ni tête. Quand on sait que la majorité ont été "fabriqués" en mettant bout à bout des nouvelles parues dans des magazines, on ne s'en étonne plus (La faune de l'espace, les armureries d'Isher). Par contre, encore une fois, je ne peux que conseiller ses recueils de nouvelles.
Shikasta, par peu lisible, tu veux dire quoi ? Ce qu'on m'a dit surtout, c'est qu'il n'a pas été réédité et que pour le trouver, il faut une bonne dose de chance. 'fin, en attendant, j'ai trouvé un Keith Roberts.
Quand à van-Vogt, ce que je reproche (même si j'avoue avoir beaucoup aimé au début), c'est ses romans sans queue ni tête. Quand on sait que la majorité ont été "fabriqués" en mettant bout à bout des nouvelles parues dans des magazines, on ne s'en étonne plus (La faune de l'espace, les armureries d'Isher). Par contre, encore une fois, je ne peux que conseiller ses recueils de nouvelles.
c'est vrai que dans certains de ses romans il n'y a pas vraiment de continuité. mais tu pourrais me dire ou je pourrais trouver un recueille de nouvelles de Van Vogt? car même ses romans sont difficile a dénicher (la plus part sont épuiser). et j'ai achever les rare romans de la bibliothèque a coté de chez moi. et les librairies d'occasion comme Gibert jeune ou gibert joseph n'en ont jamais.
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NalinElfleg
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Pour moi Van vogt reste pas mal une bonne lecture pour ado, pour en trouver, le net, ebay et livre-rare-book.com par exemple.
Pour lessing je veux dire que j'ai laché le livre assez rapidement, je l'ai trouvé confus, abscon et inintéressant, mais il y a longemps.
Par contre Farmer génial, actuellement c'est le premier de la série du monde Lavallite de mémoire!
Pour lessing je veux dire que j'ai laché le livre assez rapidement, je l'ai trouvé confus, abscon et inintéressant, mais il y a longemps.
Par contre Farmer génial, actuellement c'est le premier de la série du monde Lavallite de mémoire!
Les cons ne sont pas ceux qui ne pensent pas comme vous, mais ceux qui veulent vous obliger à penser comme eux.
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NalinElfleg
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hmmm...
Si on trouve des petites vidéos sur youtube/daily c'est ici qu'il faut les poster?
Bon, sinon quelqu'un a déjà entendu parler de The Expendables?
Si on trouve des petites vidéos sur youtube/daily c'est ici qu'il faut les poster?
Bon, sinon quelqu'un a déjà entendu parler de The Expendables?
[ external image ]
"On apprend en faisant des erreurs, mais le problème c'est qu'en explosifs, l'erreur est fatale." Aldébaran v10
[ external image ]<-- Clef Des Toilettes Privées Du Forum Français décernée par Thoto le 23/06/07
"On apprend en faisant des erreurs, mais le problème c'est qu'en explosifs, l'erreur est fatale." Aldébaran v10
[ external image ]<-- Clef Des Toilettes Privées Du Forum Français décernée par Thoto le 23/06/07
Non, je connaissais pas.
J'ai bien regardé et y'a pas Van Damme parmi tous ces jeunes premiers.
Je serais curieux de connaitre le budget de ce film.
J'ai bien regardé et y'a pas Van Damme parmi tous ces jeunes premiers.
Je serais curieux de connaitre le budget de ce film.
« J’aurais jamais cru que quelqu’un serait assez schieve pour réellement confondre ces patates explosives avec des astéroïdes »
- Ilyrm - "Les Gens de Farnham" - 2008 ~ «Up en chute libre..» - Phlt - 2018
- Ilyrm - "Les Gens de Farnham" - 2008 ~ «Up en chute libre..» - Phlt - 2018
Tiens oui étonnant! ^^Grizemine wrote:J'ai bien regardé et y'a pas Van Damme parmi tous ces jeunes premiers.
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"On apprend en faisant des erreurs, mais le problème c'est qu'en explosifs, l'erreur est fatale." Aldébaran v10
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"On apprend en faisant des erreurs, mais le problème c'est qu'en explosifs, l'erreur est fatale." Aldébaran v10
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Salut tout le monde.
Je vois que ce topic pouvait servir à certains pour s'inspirer. Ce qui le rend inoxydable à quelque-part
Je n'ai que trop peu de matières littéraires comparer à certains d'entre vous, mais elles ne sont pas inexistantes...Ouf.
J'ai vu aussi que les Références ne s'appliquent pas qu'a la littérature.
Voici donc une "porte ET" de celles croisées dans ce topic et celles que je sout(enais)iens.
Je les fais un a un a mesure de l'envie... y'en a pô beaucoup
Dernièrement, j'ai repris un bout de Monsieur Azimov.
J'avais commencé par ce qui me semblais être le début;
La vie d'un mathématicien, Hari Seldon, qui découvre un moyen (une équation) qui prendrait en compte toute l'expérience et l'histoire d'une civilisation pour en prédire son futur à moyen ou long terme. Mais bien sûr toujours à échelle d'empires galactique, de planètes, voir de nation. Mais jamais à l' échelle individuelle ou même à court terme... Seldon doit commencer (presque) tout en bas de l'échelle et défendre son projet que l'on appellera simplement Projet Seldon, qui planifie la mise en place de deux fondation permettant à la civilisation actuelle d'éviter 1000 ans de chaos qui suivront la chute Trantor, capitale de l'empire galactique actuel qui regroupe des milliers de milliers de mondes...
"Prélude à Fondation" Si j'ai bonne mémoire.
Un petit extrait qui m'a bien marqué y'a qq jours."Seconde Fondation" c'est 400ans(je crois) plus tard...
Le Cycle de Fondation
Seconde fondation
Futur succécceur au 'Premier Orateur' répondant à ses questions...
(...)
- C'est mieux, et quels sont ces principes?
- Ceux d'une civilisation fondée sur la science mentale. Dans toute l'histoire de l'Humanité, c'est surtout dans le domaine de la technologie que les progrès les plus importants ont été enregistrés, lorsqu'il s'agissait d'agir sur le monde inanimé qui entourait l'homme. Le contrôle de soi et de la société a été abandonné au hasard ou aux tâtonnements vagues de système d'éthique intuitive, basés sur l'inspiration et l'émotion. Il en résulte qu'aucune culture dont le coefficient de stabilité excède environ cinquante-cinq pour-cent n'a jamais vu le jour,
avec pour corollaire une affreuse détresse humaine.
- Et comment ce fait il que les principes dont nous parlons ne soient pas spontanés?
- Pour la raison qu'une minorité relativement grande de gens sont doués de facultés indispensables pour prendre part au développement des sciences physiques et que tous bénéficient des avantages grossiers et visibles que ces sciences leur apportent. Mais seule une infime minorité possède les facultés indispensable pour conduire l' Homme dans les arcanes de la science mentale; et les bénéfices qui en découlent, s'ils sont plus durables, sont plus subtiles et moins apparents. De plus comme l'application de tels principes conduirait au développement d'une dictature bienveillante au profit de ceux qui possèdent les meilleures aptitudes mentales - c'est à dire des hommes occupant un échelon virtuellement supérieur dans les subdivisions humaines - ce fait susciterai des ressentiments et conduirait à l'instabilité de l’État, faute de l’existence d'une force coercitive qui réduirait le reste de l'humanité au niveau de la brute. Une telle issue répugne à nos sentiments et doit être évitée à tout prix.
- Dans ce cas quelle est la solution?
(...)
Par moment difficile à lire, surtout maintenant qu'il commence avec la science mentale, mais alors...
C'est juste magnifique!
Je vois que ce topic pouvait servir à certains pour s'inspirer. Ce qui le rend inoxydable à quelque-part
Je n'ai que trop peu de matières littéraires comparer à certains d'entre vous, mais elles ne sont pas inexistantes...Ouf.
J'ai vu aussi que les Références ne s'appliquent pas qu'a la littérature.
Voici donc une "porte ET" de celles croisées dans ce topic et celles que je sout(enais)iens.
Je les fais un a un a mesure de l'envie... y'en a pô beaucoup
Dernièrement, j'ai repris un bout de Monsieur Azimov.
J'avais commencé par ce qui me semblais être le début;
La vie d'un mathématicien, Hari Seldon, qui découvre un moyen (une équation) qui prendrait en compte toute l'expérience et l'histoire d'une civilisation pour en prédire son futur à moyen ou long terme. Mais bien sûr toujours à échelle d'empires galactique, de planètes, voir de nation. Mais jamais à l' échelle individuelle ou même à court terme... Seldon doit commencer (presque) tout en bas de l'échelle et défendre son projet que l'on appellera simplement Projet Seldon, qui planifie la mise en place de deux fondation permettant à la civilisation actuelle d'éviter 1000 ans de chaos qui suivront la chute Trantor, capitale de l'empire galactique actuel qui regroupe des milliers de milliers de mondes...
"Prélude à Fondation" Si j'ai bonne mémoire.
Un petit extrait qui m'a bien marqué y'a qq jours."Seconde Fondation" c'est 400ans(je crois) plus tard...
Le Cycle de Fondation
Seconde fondation
Futur succécceur au 'Premier Orateur' répondant à ses questions...
(...)
- C'est mieux, et quels sont ces principes?
- Ceux d'une civilisation fondée sur la science mentale. Dans toute l'histoire de l'Humanité, c'est surtout dans le domaine de la technologie que les progrès les plus importants ont été enregistrés, lorsqu'il s'agissait d'agir sur le monde inanimé qui entourait l'homme. Le contrôle de soi et de la société a été abandonné au hasard ou aux tâtonnements vagues de système d'éthique intuitive, basés sur l'inspiration et l'émotion. Il en résulte qu'aucune culture dont le coefficient de stabilité excède environ cinquante-cinq pour-cent n'a jamais vu le jour,
avec pour corollaire une affreuse détresse humaine.
- Et comment ce fait il que les principes dont nous parlons ne soient pas spontanés?
- Pour la raison qu'une minorité relativement grande de gens sont doués de facultés indispensables pour prendre part au développement des sciences physiques et que tous bénéficient des avantages grossiers et visibles que ces sciences leur apportent. Mais seule une infime minorité possède les facultés indispensable pour conduire l' Homme dans les arcanes de la science mentale; et les bénéfices qui en découlent, s'ils sont plus durables, sont plus subtiles et moins apparents. De plus comme l'application de tels principes conduirait au développement d'une dictature bienveillante au profit de ceux qui possèdent les meilleures aptitudes mentales - c'est à dire des hommes occupant un échelon virtuellement supérieur dans les subdivisions humaines - ce fait susciterai des ressentiments et conduirait à l'instabilité de l’État, faute de l’existence d'une force coercitive qui réduirait le reste de l'humanité au niveau de la brute. Une telle issue répugne à nos sentiments et doit être évitée à tout prix.
- Dans ce cas quelle est la solution?
(...)
Par moment difficile à lire, surtout maintenant qu'il commence avec la science mentale, mais alors...
C'est juste magnifique!
On se rend vers la connaissance avec circonspection.
c.a.d, avec un immense respect et la peur au ventre.
c.a.d, avec un immense respect et la peur au ventre.
Asimov (pas avec un z !) difficile à lire ? Tu es bien le premier à dire ça !
N'essaye pas Bear ou Benford, tu auras la nausée.
Sinon le cycle de Fondation dans l'ordre :
prélude à fondation
l'aube de fondation
fondation
fondation et empire
seconde fondation
fondation foudroyée
terre et fondation
N'essaye pas Bear ou Benford, tu auras la nausée.
Sinon le cycle de Fondation dans l'ordre :
prélude à fondation
l'aube de fondation
fondation
fondation et empire
seconde fondation
fondation foudroyée
terre et fondation
Right on commander !
La science fiction est généralement facile a lire (j'ai pas de souvenir d'avoir eu des difficulté sur un livre de SF), comme dit Geek Asimov est vraiment pas difficile, par contre son style est très daté ('surtout dans les nouvelles sur les robots), n'oubliez pas que ecs livres ont été écrit dans les années 60.
je vous propose quelques auteurs qui m'ont marqué (en en oubliant probablement plein)
les classiques:
-Asimov (les robots, fondation)
-Herbert (dune)
-Philip K. Dick (Ubiq...)
-Arthur C. Clark (2001, rencontre avec Rama) je suis en train de les lire donc je ne sais pas trop
ensuite il y en a des un peu moins connus
-A.e van Vogt (le cycle du à ) mais il est peut être épuisé
-Philip José Farmer (Ose, le fleuve) pas forcement tout publique, mais très sympa a lire
-Dan Simons (Hypérion) un space opéra dans un univers très complexe (développé sur 4 livres en anglais et 8 en français) ou finalement la dimension space opéra est secondaire
-William Gibson (Neuromancien) tout simplement le fondateur du mouvement cyberpunk
ces auteurs se lisent bien et sont tout publique, ensuite je déconseillerais Hypérion aux plus jeunes car ils passeraient a coté de l’intérêt du livre. Uns fois qu'on a compris comment marche le livre c'est tout simplement un chef d’œuvre.
Farmer décrit souvent des actes sexuel mais si je me souviens bien ça reste soft (je ne l'ai pas lu depuis 5-10 ans)
A.E van Vogt est est un cas particulier car, comme Asimov a un moindre niveau, il utilise ses univers de science fiction pour essayer de voir ce qui se passe quand on pousse une idée philosophique.
je vous propose quelques auteurs qui m'ont marqué (en en oubliant probablement plein)
les classiques:
-Asimov (les robots, fondation)
-Herbert (dune)
-Philip K. Dick (Ubiq...)
-Arthur C. Clark (2001, rencontre avec Rama) je suis en train de les lire donc je ne sais pas trop
ensuite il y en a des un peu moins connus
-A.e van Vogt (le cycle du à ) mais il est peut être épuisé
-Philip José Farmer (Ose, le fleuve) pas forcement tout publique, mais très sympa a lire
-Dan Simons (Hypérion) un space opéra dans un univers très complexe (développé sur 4 livres en anglais et 8 en français) ou finalement la dimension space opéra est secondaire
-William Gibson (Neuromancien) tout simplement le fondateur du mouvement cyberpunk
ces auteurs se lisent bien et sont tout publique, ensuite je déconseillerais Hypérion aux plus jeunes car ils passeraient a coté de l’intérêt du livre. Uns fois qu'on a compris comment marche le livre c'est tout simplement un chef d’œuvre.
Farmer décrit souvent des actes sexuel mais si je me souviens bien ça reste soft (je ne l'ai pas lu depuis 5-10 ans)
A.E van Vogt est est un cas particulier car, comme Asimov a un moindre niveau, il utilise ses univers de science fiction pour essayer de voir ce qui se passe quand on pousse une idée philosophique.
Ah ben moi si!meewan wrote:(j'ai pas de souvenir d'avoir eu des difficulté sur un livre de SF)
A en avoir un mal de crâne. Mais comme c'était un cadeau je l'ai lu jusqu'au bout(du premier tome)
En trois lettres : Noô. de Stephan Wul.
Et je vous le DÉconseille vivevement!
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"On apprend en faisant des erreurs, mais le problème c'est qu'en explosifs, l'erreur est fatale." Aldébaran v10
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"On apprend en faisant des erreurs, mais le problème c'est qu'en explosifs, l'erreur est fatale." Aldébaran v10
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lol, j'essaierai d'écrire Asimov correctement dorénavant.
Du coup, j'ai jamais eu la nausée
De l'ennui avec, si je ne m'abuse "Mars la rouge" qui raconte en trois volume le voyage puis la colonisation et la terraformation de Mars... Je me suis arrêter au milieu du deuxième Tome. Voyant que l'auteur dont je ne me souviens plus du nom, réplique le peu de matière (surtout psychologique et relationnel) du long voyage jusqu’à Mars à l'intérieur des prémices de la colonisation (deuxième tome)...
Faut que j'aille dire ça a ma maman (elle aime les "romans du terroir")
Ca me fait penser à ce bon vieux dicton:
"C'est pas parce que les choses sont difficiles qu'on ne les fais pas, c'est parce qu'on les fais pas que elles sont difficiles"
M'enfin...
Mon prochain post sera sur les Terres du milieu ou Arakis. Deux autres vieilles références déjà citées plus haut plusieurs fois. Ou peut être BD, j'ai vu une micro chtite erreur aussi ^^
Bien, sauf si mon entourage me le conseille. En principe je n'essaye pas...Geek wrote: N'essaye pas Bear ou Benford, tu auras la nausée.
Du coup, j'ai jamais eu la nausée
De l'ennui avec, si je ne m'abuse "Mars la rouge" qui raconte en trois volume le voyage puis la colonisation et la terraformation de Mars... Je me suis arrêter au milieu du deuxième Tome. Voyant que l'auteur dont je ne me souviens plus du nom, réplique le peu de matière (surtout psychologique et relationnel) du long voyage jusqu’à Mars à l'intérieur des prémices de la colonisation (deuxième tome)...
Vous avez l'air unanime.meewan wrote:La science fiction est généralement facile a lire
Faut que j'aille dire ça a ma maman
(elle aime les "romans du terroir")Ca me fait penser à ce bon vieux dicton:
"C'est pas parce que les choses sont difficiles qu'on ne les fais pas, c'est parce qu'on les fais pas que elles sont difficiles"
M'enfin...
Mon prochain post sera sur les Terres du milieu ou Arakis. Deux autres vieilles références déjà citées plus haut plusieurs fois. Ou peut être BD, j'ai vu une micro chtite erreur aussi ^^
On se rend vers la connaissance avec circonspection.
c.a.d, avec un immense respect et la peur au ventre.
c.a.d, avec un immense respect et la peur au ventre.
Je ne suis pas d'accord, regarde Barjavel, Bordage et Damasio, c'est facile a lire et pourtant c'est de la SF française.arnaud.p wrote:Normal c'est un auteur français et les français ne sont pas très bon en SF.En plus il date un peu.
Ensuite je préfère la SF américaine des années 60-80 mais c'est une question de gouts.
PS je conseil vraiment Hypérion qui est le meilleur livre de SF moderne que j'ai lu.
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NalinElfleg
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